Vous ne regarderez et ne mangerez plus jamais pareil les mm's.
Ces gentils bonhommes au chocolat dans les publicités ont bien changés
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Le journal de Lady
Ariciaa
Vous ne regarderez et ne mangerez plus jamais pareil les mm's.
Ces gentils bonhommes au chocolat dans les publicités ont bien changés
Voici la page (print écran) accidulé d'une chanteuse avec une chanson ayant comme thème le sm.
J'ai bien aimé car elle transforme "sm" en "s aime" :-)
© Lara Martinez
Voici le lien pour aller écouter la chanson (et les autres si l'envie vous dit) : link
Bonne écoute
Voici un article très intéressant, je trouve
" La soumission au masculin
C’est un chef de guerre, un résistant, un homme un vrai. Deux soldats le transportent partout à bout de bras, debout sur son bouclier gaulois. Entouré de ses virils guerriers, il tient tête à l’armée la plus puissante au monde, celle de César. Mais quand, rouleau à pâtisserie à la main, sa femme Bonemine déboule sur la place du village et exige qu’il lui « prête » ses porteurs le temps d’aller faire ses courses, Abraracourcix se fait tout petit et obtempère sans moufter. En lisant les albums d’Astérix, nous sourions irrésistiblement au jeu d’inversion des rôles suggéré par Uderzo et Goscinny. Car nous connaissons tous quelques uns de ces couples au sein desquels la femme fait visiblement la loi. Madame porte la culotte, comme on dit. Madame ou le souvenir nostalgique de maman… Mais l’inversion des rôles n’est pas seulement un ressort comique, ou encore une façon comme une autre de vivre à deux. Utilisée à bon escient, elle peut également devenir un aphrodisiaque puissant. L’homme serait-il un soumis qui s’ignore ? Et nous les femmes, des dominatrices en puissance ?
Bien qu’on imagine plus volontiers une femme qu’un homme soumis, le masochisme est une « création » masculine. Son nom est d’ailleurs emprunté à celui de Léopold Sacher-Masoch, écrivain et journaliste autrichien du XIXème siècle dont La Vénus à la fourrure, parue en 1870, fut la première œuvre littéraire entièrement consacrée à la question. Mais le précurseur officiel, le tout premier écrivain à avoir osé décrire le plaisir qu’il trouvait dans sa soumission à une femme fut… Jean-Jacques Rousseau ! « Être aux genoux d’une maîtresse impérieuse, obéir à ses ordres, avoir des pardons à lui demander, étaient pour moi de très douces jouissances », avoue-t-il dans le Livre premier de ses Confessions. Comme on l’imagine, ce penchant trouve sa source dans un épisode de l’enfance. Rousseau raconte ainsi comment il fut bouleversé par la correction reçue de la main (et la férule) de son éducatrice d’alors, Mademoiselle Lambercier. « J’avais trouvé dans la douleur, dans la honte même, un mélange de sensualité qui m’avait laissé plus de désir que de crainte (…). Ce châtiment d’enfant, reçu à huit ans par la main d’une fille de trente, a décidé de mes goûts, de mes désirs, de mes passions pour le reste de ma vie, et cela précisément dans le sens contraire à ce qui devait s’ensuivre naturellement ».
Comme en témoignent les offres abondantes de produits ou services sexuels à destination des hommes soumis, Rousseau et Sacher-Masoch ne sont pas des exceptions. Les hommes qui apprécient de marcher à quatre pattes, tenus en laisse par une maîtresse inflexible dont ils seront peut-être autorisés, plus tard, s’ils sont sages, à lécher les talons aiguilles, sont en réalité plus nombreux qu’on le pense. Mais la chose est presque impossible à dire. Ayant avoué le plaisir trouvé sous la férule, Rousseau conclut fièrement : « J’ai fait le premier pas et le plus pénible dans le labyrinthe obscur et fangeux de mes confessions… Dès à présent je suis sûr de moi : après ce que je viens d’oser dire, rien ne peut plus m’arrêter ».
Le concept de l’homme esclave brise en effet plus d’un tabou. Aux « contradictions » inhérentes au SM – le plaisir dans la douleur, l’humiliation, la dépossession de soi – vient s’ajouter ici un impératif incontournable de notre ordre social, selon lequel l’homme serait un dominateur inné. Nos oreilles sont si rebattues du cliché du mâle dominant que l’idée même d’un homme soumis semble tout à fait incongrue. Mais comme l’enseigne Bourdieu, le schéma de domination masculine, profondément ancré dans nos mentalités et nos structures sociales, ne reflète pas une réalité objective. Handicapant pour les femmes, ce schéma de domination est souvent lourd à porter pour les hommes. Il requiert une surveillance de chaque instant : « Comme les dispositions à la soumission, celles qui portent à revendiquer et à exercer la domination ne sont pas inscrites dans une nature et elles doivent être construites par un long travail de socialisation » indique le sociologue. D’où le devoir, pour chaque homme, « d’affirmer en toute circonstance sa virilité ». En d’autres termes, tous les hommes n’ont pas l’étoffe du dominateur, mais tous sont tenus de jouer le jeu. Et s’il est difficile pour une femme d’assumer le plaisir qu’elle peut trouver à se faire flageller, pour un homme ce même aveu relève quasiment du suicide social. Mettant en question l’un des principes fondamentaux sur lesquels repose notre société, l’homme qui se proclame soumis est presque un ennemi public.
Autant dire que Frank, le seul homme à avoir accepté de témoigner dans le cadre de cette enquête, fait figure d’ovni. Cet homme de 35 ans parle de sa sexualité avec une liberté et une sérénité d’esprit assez étonnantes. Mais ce qui surprend le plus, c’est que cette attitude semble être payante. Comme Rousseau, Frank est un homme que désormais rien ne semble plus pouvoir arrêter. Pas la peur de l’exclusion ou de l’opprobre sociale, en tout cas. Au contraire, parler librement de son goût pour la soumission est comme il le dit lui-même un « excellent filtre à connards ». Non qu’il pense que tout le monde devrait se mette au SM. Simplement, Frank sait qu’il n’a pas grand-chose à partager avec ceux et celles qui, par crainte, dégout ou déni, s’arrêtent net à l’évocation d’un fouet ou d’un ensemble en latex. D’accord. Mais justement, Frank, qui sont ces femmes qui tiennent la laisse ou le fouet ?
Bien entendu, on trouve des maîtresses professionnelles, mais Frank leur préfère les femmes qui pratiquent en amateur. Comme nombre de masochistes, il tire sa propre jouissance du spectacle et du plaisir qu’il offre à l’autre. Les rapports tarifés ne l’intéressent pas. Les dominatrices sont-elles faciles à trouver ? Y a-t-il un truc qui permette de les identifier ? Frank soupire que non, malheureusement. Du moins, pas toujours. En dix ans de pratique il a connu beaucoup d’aventures ternes, vulgaires ou décevantes. Dommage qu’il ne connaisse pas Héléna.
Héléna est une personne qu’on remarque immédiatement. Grande, élégante, sexy, cette femme de 45 ans correspond assez bien à l’idée qu’on se fait d’une dominatrice. Et pourtant, Héléna a d’abord été soumise. Ha bon ? Parce qu’on peut changer de bord ? Évidemment répond-elle. Sans être systématique, la chose est assez fréquente : « Quand on a associé le plaisir à la douleur, tout est possible. Endurer, faire endurer, ou passer de l’un à l’autre. D’ailleurs, tous les soumis vous le diront : les meilleures maîtresses sont celles qui ont d’abord été des esclaves. Quand on a connu les attentes inquiètes, les douleurs exquises, l’abandon total de soi, on sait précisément ce qu’on inflige à l’autre, on lui fait prendre un sacré pied ». Mais alors, qu’est-ce qui l’a décidée à dominer à son tour ? « J’ai eu le déclic au cours d’une soirée privée, en regardant une pseudo-maîtresse s’y prendre comme un manche avec une fille qui m’excitait beaucoup. Je les regardais toutes les deux et j’étais très frustrée devant tout ce potentiel gâché… C’est là que j’ai compris quelle était ma vraie place ». « Vraie place » ? Parce qu’elle n’envisagerait pas de se soumettre à nouveau ? « Certainement pas ! Comme je le disais, dans ma tête le plaisir et la douleur sont inextricablement liés. J’ai goûté à tout. Mais ce qui m’excite maintenant, c’est regarder l’autre. Être la source unique de son plaisir et surtout tenir son orgasme dans ma main : l’interdire, le retarder, l’autoriser ».
Comme chez Frank, comme chez les personnes interrogées dans le cadre de l’enquête sur la soumission au féminin, on perçoit une fierté certaine dans la voix et l’attitude d’Héléna. Une fierté qui semble moins tenir à la pratique elle-même qu’à l’audace d’en parler. Avoir transgressé des interdits et surtout oser le dire semblent avoir un effet férocement libérateur. Presque glorieux. Rousseau, Frank, Héléna, tous font l’effet de petits Prométhée, qui auraient réussi à dérober le feu aux dieux pour le ramener chez eux. Chez eux ? Mais chez soi justement, ce feu, qu’en fait-on ? Le SM peut-il trouver sa place dans une relation de couple ? Selon le cliché de la psychologie de comptoir, nous serions tous plus ou moins sadomasos. Mais à écouter Héléna, on comprend bien que les plaisirs de la domination ne sont pas susceptibles d’exciter tout le monde. Et les hommes masochistes, on l’a vu, se présentent rarement comme tels. Une femme non initiée aux vertiges du sadomasochisme peut-elle s’épanouir auprès d’un homme soumis ?
S’il a été difficile, dans le cadre de l’enquête, de recueillir le témoignage d’hommes soumis, un nombre assez étonnant de femmes est venu raconter l’expérience qu’elles avaient vécu avec eux. Alexandra a 28 ans. En dépit de son jeune âge, elle semble totalement épuisée. Nerveusement et physiquement à bout. Elle a rencontré Philippe dans une soirée. Un homme séduisant, distingué, qui semblait avoir beaucoup de succès auprès des femmes et aussi dans son métier. « Il était tout ce dont je pouvais rêver. Ses manières me plaisaient. Les fleurs, les cadeaux, les surprises, les compliments… J’ai eu droit au « grand jeu », et je suis vite tombée amoureuse. Je lui ai présenté mon frère, mes amis. Tout le monde le trouvait génial. Sauf ses quelques copines qui trouvaient louche qu’à presque quarante ans, cet homme soit toujours célibataire. Moi je suis une optimiste de nature, je ne me suis pas méfiée. En fait, je n’aurais jamais imaginé. Au début de notre histoire, il n’était pas du tout question de ce genre de choses ». Les « choses » ont démarré gentiment. Une claque sur les fesses. Un ordre donné. « J’avoue qu’au début j’ai trouvé ça excitant. Très excitant, même. Pour moi c’était nouveau, surprenant, interdit, grisant. Enfin, tout ça c’était au début, avant qu’il ne sorte son matériel et ses requêtes vraiment spéciales ». Requêtes spéciales ? Philippe veut se remettre corps et âme à la femme de son cœur. Prendre un RTT et rester attaché au radiateur une journée entière tandis qu’Alexandra se rend au travail. A son retour, demander humblement la permission pour boire un verre d’eau ou simplement uriner. « C’est déjà assez fatiguant de trouver des jeux érotiques de nature à l’exciter continuellement. Dominer requiert une inventivité et une énergie considérable. Le vrai problème, c’est que le rapport de domination ne se limite pas à notre relation sexuelle. Ou alors, c’est le sexe qui envahit toute notre vie… Les frontières sont difficiles à établir ». Alexandra est supposée dominer Philippe. Mais après une année de pratique SM intensive, elle a surtout l’impression d’avoir été prise au piège. Dans son esprit la confusion est totale. « Ce qui est sûr, c’est que je suis amoureuse d’un homme qui a besoin de souffrir et d’être humilié pour prendre son pied. J’aimerais l’aider, mais les discussions sérieuses sont impossibles. Il se bute ou me demande pardon à genoux, et c’est reparti pour un tour… Plus le temps passe et plus je me sens déchirée par ce qu’il attend de moi. Je ne suis pas celle qu’il voudrait que je sois. A l’amusement et l’excitation des premiers temps ont succédé une nausée perpétuelle et une furieuse envie de me laver… Malgré tout cet homme me touche, je me dis qu’il a dû énormément souffrir, pour en arriver là. Mais cette pitié-même me piège. J’ai peur d’accentuer encore son problème et son dégoût de lui-même en le quittant ». Le récit d’Alexandra est poignant. Les femmes ayant connu des histoires semblables décrivent toutes la même impasse finale. Si tous les hommes ne sont pas prêts à endosser le rôle de mâle dominant, à l’évidence toutes les femmes n’ont pas non plus envie de prendre la relève.
Alors, faut-il rêver d’un monde où hommes et femmes seraient enfin parvenus à
séparer radicalement le sexe et le pouvoir ? Ici comme ailleurs, tout est probablement affaire de juste mesure. Un beau défi pour les générations à venir…
Caroline Colberti "
Lien vers l'article : link
J'ai découvert que même pour des gens du milieu, une Domina est vue comme froide, intransigeante, voir sadique et même hautaine envers les soumis.
Tant qu'on y est, mettez y les chaînes, le cuir noir et le fouet ! Désole de briser vos illusions, une Domina est une femme avant tout avec un cœur, des sentiments, des ressentis. On peut être intransigeante et sadique sans pourtant perdre sa part d'humanisme qui nous habite en vanille.
Votre problème messieurs, c'est que vous voulez que nous soyons votre fantasme. Ça ne marche pas ainsi ! Vous êtes notre objet pour réaliser NOS envies et parfois on peut prendre en considération vos désirs.
Tant que vous n'aurez pas compris qu'il faut nous voir en tant que Femme avant de nous voir en Domina, vous n'aurez rien compris.
Me concernant je n'ai pas à me plaindre mon soumis, il a tout à fait intégrer le fait qu'il est mon jouet, mon objet.
Pourquoi cet article, c'est qu'au
travers de posts que je lis ici et là que je me suis dit "stop" !
Au détour de mes lectures sur divers forums, je suis tombé sur un lien pour un blog que j'ai beaucoup aimé.
C'est le blog de Waldo. J'ai apprécié de me ballader dans son blog et surtout j'ai beaucoup aimé ces illustrations dessinées par lui même. En voici deux que j'apprécie particulièrement :
J'adore :-) Voici le site de ce dessinateur taquin : link
Je voulais mettre une publicité que j'avais apprécie mais impossible de mettre la main dessus. Par contre, j'ai trouvé les textes.
Si vous la trouvez, je veux bien le lien.
Voici donc le texte :
Homme noir...
Quand tu es né tu étais noir
Quand tu as grandi tu es rester noir
Quand tu reste au soleil tu es noir
Quand tu as froid tu reste noir
Et quand tu meurs tu reste noir
Toi Homme blanc...
Quand tu es né tu es rose
Quand tu grandi tu es blanc
Quand tu reste au soleil tu devient rouge
Quand tu as froid tu es bleu
Et quand tu meurs tu reste gris
Et tu oses l'appeller Homme de couleurs
...
Ce texte est de Léopold SEDAR SENGHOR
Voilà de quoi faire un peu penser ceux qui ont des pensées (un peu) "racistes".
Bien entendu, je sais que certaines populations font plus parlées d'elles et que c'est aussi cette population qui fait le "bazard". C'est aussi d'elles qu'on se plaint. Cependant, il y a aussi personnes des "blanches" qui sont à mettre dans cette population.
Grâce à mon soumis, j’ai découvert un forum où j’apprécie de me connecter. Un peu comme celui dont je parlais au tout début de mon blog où j'appréciais beaucoup de m'y connecter.
J’y vais plutôt fréquemment tout dépend des mes activités en semaine. J’ai appris à faire connaissance des personnes qui y sont et à les apprécier.
Chaque mois, il y a un tribunal des Divines où les fautes des soumis sont jugés et ils sont punis selon la décision du tribunal.
Cette fois ci, ce fut en réel. J’ai eu le plaisir
d’être invité par la Divine tenant le forum et une de ses Amies avec l'accord des autres Divines faisant partie du noyau du forum.
Déjà lors des tribunaux virtuels, il y a une bonne ambiance entre les avocates qui essayent tant bien que mal de défendrent le prévenu pendant que les procureurs accablent les prévenus.
En réel, cela a dépassé toutes mes espérances. Cela fut extra, un super moment fait de rire, d’échange, de complicité.
On a eu le plaisir de se faire servir l’apéritif pendant qu’un groupe de soumis nous servait et que l’autre s’affairait à préparer le repas. Nous avions fait deux groupes de soumis, un pour le service et un pour le repas puis inversement le lendemain. J’ai pu avoir le plaisir d’avoir mon soumis à mes pieds entrain de manger à terre comme un chien dans une assiette. J’étais attentive à ce qu’il n’utilise pas ses mains pour tenir ou rapprocher l’assiette. Chaque Domina avait une ardoise joliment décoré avec son pseudo pour indiquer la place qu’il lui avait été réservé. Le soumis avait aussi un petit support avec son nom posé par terre par la Maîtresse.
Nous avons pu manger tranquillement sonnant une cloche si besoin pour nous apporter ce qu’il nous manquait. Nous sommes en suite aller dans la salle pour le tribunal en mettant les soumis dans une salle à part et en les faisant venir un à un pour les juger.
Ce fut un vrai plaisir de finalement se casser la tête soit pour défendre le soumis ou pour l’enfoncer (enfin là il n’a pas fallu trop se casser la tête lol ). Car chaque soumis avait deux avocates pour le défendre et deux procureurs contre lui, avec la greffière qui notait le déroulement de la séance et Mme La Présidente qui écoutait attentivement nos dire et statuer en cas de désaccord ou qui apportait son soutien aux avocates ou aux procureurs selon les situations. Il en a parfois résulter de bonnes crises fous rires car les Avocates ont parfois eu bien du mal à défendre le soumis car la faute l’accablait.
Puis ensuite, nous nous sommes retrouvés pour statuer sur les punitions de chaque soumis selon leurs fautes. L’échange fut riche d’échanges et d’idées, certaines punitions décidaient au départ par la Maîtresse du soumis fut changer suite à nos discussions et idées. Chacune donnait son avis, tous les points de vue étaient écoutés. Ce fut un moment d’intenses échanges sur chaque soumis et sur les punitions assortis à leurs fautes.
Ensuite nous les avons fait monter pour nous rejoindre et on les fut patienter jusqu’au lendemain matin pour leurs sanctions.
J’ai trouvé que mon soumis s’est bien comporté durant cette soirée (et d'ailleurs durant tout le week-end, l'éducation commence à rentrer tout doucement dans sa tête). Il avait mieux assimiler ce que j’attendais de lui par rapport à la première soirée bdsm où il avait pris quelques libertés que j’avais sanctionné de retour chez nous.
Le lendemain, ils se sont occupés du petit déjeuner de leurs Maîtresses puis ils ont déjeuner une fois que la Maîtresse l’avait autorisé. Puis on les a parqué à nouveau afin de pouvoir appliquer les sanctions pour chacun.
Ce fut un moment que j’ai aussi apprécié car tout comme le jugement ils se sont retrouvés à genoux sur une chaise pour écouter leurs sentences. Puis on a mis en application la sanction décidé. Mon soumis fut jugé pour non respect de plusieurs règles d/s définies et écrites dans le cahier. Il a eu 80 coups de divers accessoires. Chacune des Maîtresses pouvait lui donner 10 coups de ce qu’elle souhaitait. Il y a eu le droit à un paddle simple, un avec des clous en forme de cônes, la cravache, des fessées manuelles, la roulette à pique… Il fut une fois de plus résistant aux coups sans broncher :- ) Il est vrai qu’il reste impassible sous les coups mais j’aime le voir ainsi sans sourciller recevoir les coups punissant ses fautes.
Disons que beaucoup de Maîtresses ont trouvés dommage qu’on ne ressente pas ces ressentis. Je peux le comprendre car il est vrai que j’apprécie beaucoup cela aussi mais avec le temps j’ai appris à le découvrir et à le connaître donc je le perçois. On avait un soumis novice parmi nous, ce fut un régal que de le punir. Lui c’était 5 coups par Dominas au choix aussi. Sa tête était un vrai délice. Son visage était tellement expressif, tout y passer, la bouche, les yeux … S'il n’avait pas été attaché, je crois qu’il aurait pris ses jambes à son coup mdr. Un moment, une Domina est parti dans un délire et ces yeux on aurait dit qu’il allait sortir de ses orbites tellement qu’il avait ouvert grand les yeux lol. Il était très expressif, sa bouche se tordait dans tous les sens, ses yeux sans arrêt s’ouvraient de découverte face à tous cela lol. Ce fut un excellent moment que de s’occuper de le punir lol.
Puis le deuxième groupe où il avait mon soumis sont montés s’occuper de nous préparer le repas du midi. Une Domina a eu l’idée de les attacher par les mains car il avait deux cuisiniers dans le groupe contre qu’un pour l’autre groupe. J’ai plutôt proposé suite à un commentaire d’une Domina que si on voulait manger à l’heure du goûter rien de tel. Alors j’ai proposé de les attacher par les pieds ce qui fut adopter. Ca m’a fait sourire de voir ainsi mon soumis attaché à deux autres lol. Quand on en appelait un peu, les deux autres devaient suivre lol.
Ce fut un week-end très agréable, dans un superbe endroit, dans une maison très bien décoré et agencé et surtout grande. J’ai pu revoir un soumis que je n’avais pas vu depuis deux ans et demi quasiment et que j’avais apprécié. J’avais enfin pu rencontrer sa Maîtresse depuis le temps. J’ai pu rencontrer d’autres Divines avec qui j’ai aimé échanger et faire connaissance. :- ) ainsi que des soumis. Donc pleins de nouvelles têtes, de souvenirs et de plaisirs.
Plus le temps avance et plus je me dis que nous formons un couple un peu spécial lol. Avant j’étais toujours la plus jeune dans les soirées et maintenant nous sommes le couple le plus jeune des soirée :- )
J’enviais quand j’étais chez moi, un couple que je connaissais et maintenant je vis cela et quel plaisir :- ) Partager ses moments là avec une personne avec qui on est intime, c’est magique. Cela resserre les liens, renforce les sentiments. C’est tout simplement extraordinaire comme sensation de pouvoir partager tous cela avec quelqu’un qui nous comprend et qui prend tout autant plaisir que nous.
Trouver son autre c’est déjà pas facile mais un autre qui aime la soumission avec la même vision du bdsm que nous c’est encore plus dur. Ce n’est plus une aiguille qu’on cherche dans une botte de foin … Je pense que surtout la chance que j’ai eu c’est que à notre âge, j’avais constaté que les hommes n’ont pas envie de se lancer dans une telle relation, il garde cela comme amusement mais en gardant une vie « vanille ». C’est plutôt vers 30/40 ans que les couples se construisent j’ai pu constater sauf exception bien entendu. Je connais un autre couple de notre âge.
Après pour vivre ce bonheur, j’ai quand même quitter ma région, mon chez moi, ma famille et mes amis. Je pense que cela valait le coup car vivre une telle relation n’est rien à coté d’une relation vanille que j’aurais pu connaître là bas chez moi.
J'ai lu un article qui m'a fait sourire surtout après le week-end que j'ai passé. Un week-end D/s comme je les aime.
mercredi 2 juin 2010 8h11. par Premiere.fr
Il n'aura pas fallu longtemps pour que le CSA hausse le ton envers la nouvelle émission de télé-réalité "décomplexée" Dilemme diffusée sur W9 . Le conseil vient de mettre en demeure la chaîne pour "atteinte à la dignité humaine".
C'était prévisible: le Conseil supérieur de l'Audiovisuel allait particulièrement surveiller la nouvelle émission de télé-réalité de W9 produite par Alexia Laroche Joubert : Dilemme. En effet ce nouveau rendez-vous était présenté comme de la télé-réalité décomplexée par ses concepteurs... autant dire que l'on pouvait s'attendre à quelques débordements et ça n'a pas trainé ! Ainsi, le CSA reproche à Dilemme l'un de ses ... "dilemmes". Lors de l'émission quotidienne du 25 mai, on a pu voir Ophélie se voir proposer de "devenir le toutou de Caroline pour une journée" pour faire gagner 6000 euros à son équipe.
Il faut bien entendu comprendre cette épreuve au sens littéral du terme. Ainsi, la participante s'est vue traitée en chienne de salon, avec une laisse autour du cou et devant manger dans une écuelle. A la jeune femme de rajouter grognements et aboiements pour rendre encore plus réaliste son interprétation.
Ni une, ni deux, le CSA a décidé en assemblée plénière de mettre en demeure W9 pour condamner ce "traitement avilissant et dégradant" alors que la chaîne doit respecter le principe la dignité humaine dans ses émissions selon sa convention...
Pour le moment pas d'autres sanctions donc si ce n'est l'obligation d'imposer dorénavant un logo d'interdiction aux moins de 10 ans au début des émissions "lorsque la nature des rapports entre les candidats ou de leurs propos le justifie".
Reste à savoir si cette mise en demeure va effrayer la production de Dilemme et surtout la chaîne pour assagir son programme de télé-réalité ?"
Ah bon, c’est avilissant et dégradant et ne respecte pas le principe de la dignité humaine de mettre un collier à une personne et le tenir en laisse, oups ! lol ;-)
Ce week-end, c’était la première fois que je voyais mon soumis manger dans une assiette à terre tel un chien à mes pieds. J’étais attablé en compagnie de consœurs avec des soumis entrain de nous servir et d’autres à nos pieds en train de manger.
Ce fut un excellent week-end sous le signe de la Domination et soumission.
Pour une fois que je suis d'accord avec une initiative d'over blog :
Par , le 26 Mai 2010
La proposition de loi du sénateur Masson visant à supprimer le droit à l'anonymat des blogueurs m'inquiète. Les politiques, qui ne comprennent rien à Internet faute de l'utiliser, sont en permanence tentés de restreindre cet espace de liberté qui les gêne tant.
Ce qui a toujours fait le succès d'Internet, c'est la quantité de contenus
disponibles, la facilité que l'on a d'en ajouter et d'en discuter. Si Internet regorge de conseils, d'informations, d'explications aussi complètes, aussi variées et le plus souvent gratuits,
c'est parce que des internautes ont pris le temps d'écrire ce qu'ils savent dans le seul but de partager.
Internet est un fabuleux accélérateur de diffusion de la connaissance et un outil de la démocratie. Si vous considérez comme moi que savoir c'est être libre. alors Internet est le meilleur moyen
de gagner sa liberté.
Lorsque le gouvernement chinois censure Internet, le monde entier a bien raison de
réagir comme il le fait.
En Allemagne, les blogueurs sont déjà, comme le propose Masson, obligés d'indiquer leur nom et leurs coordonnées sur leur blog! Le résultat c'est que la blogosphère allemande est peu active: il y
a moins de blogs qu'en France, moins de commentaires, ...
En France, les blogueurs qui choisissent l’anonymat le font pour des raisons liées à leur vie professionnelle ou personnelle. Sans la protection de l'anonymat, beaucoup arrêteraient de bloguer,
et c'en serait fini du dynamisme de la blogosphere!
Masson prétend vouloir lutter contre les dérives, diffamations ou propagations de fausses nouvelles. Il faut lui rappeler que la loi existante (LCEN) apporte déjà une protection efficace: chez
Wikio, comme chez OverBlog, nous recevons régulièrement des mises en demeure émanant d'un juge, qui exige qu'on lui communique les éléments d'identification de l'auteur d'un contenu illégal.
L'hébergeur est tenu de fournir les informations demandées, c'est la loi LCEN qui s'applique.
Mettre fin à l'anonymat sur internet ce serait casser la dynamique extraordinaire de partage de la connaissance qui fait tout l'attrait d'Internet. Ce serait une perte de valeur pour tous. Pour
autant, est-ce-que cela mettrait fin aux dérives ? Je n'en crois rien.
Arrêtons donc cette surenchère législative nuisible aux libertés!
OverBlog a fait publier une lettre ouverte à destination de Mr Masson.
Avec Frédéric Montagnon d'OverBlog, Jean-Baptiste Clot de Canalblog, Philippe Pinault de Blogspirit/Hautetfort, Tristan Nitot
de Mozilla Europe, Jeremie Zimmermann et Philippe Aigrain de La Quadrature du Net, Olivier Creiche de Typepad et Jean-François
Julliard de Reporters Sans Frontières, nous lançons un appel pour défendre le droit à l'anonymat des blogueurs.
Si vous partagez notre avis et soutenez cet Appel :
Signez la pétition en cliquant ici !
Pierre Chappaz, PDG de Wikio, est un grand acteur du web français depuis des années, qui dénnonce aujourd'hui la proposition de loi abusive du sénateur Masson, concernant la levée de l'anonymat des blogueurs. Frédéric Montagnon, PDG d'OverBlog ainsi que d'autres principaux responsables du web, s'associent à lui pour relayer son appel. Lisez la lettre ouverte d'OverBlog ainsi que l'appel de Pierre Chappaz et n'hésitez pas à signer la pétition !
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