Ecoutez :)
Ca faisait longtemps que je n'avais pas publié un poème. Ce soir, je discutais avec un ami soumis, un soumis que je connais depuis mes débuts. Il m'a fait lire ses poèmes et je les ai trouvé vraiment bien écrit, pleins d'inspiration et de sens connaissant un peu son histoire. Dans le feu de l'action, il m'en écrit un :) Le voici donc :
Lady Ariciaa a trouvé son bonheur
De p'tit lu, il est devenu soumis de cœur
Il prend ses ordres comme une sage décision
Et les applique à la lettre avec dévouement et passion
Et même si les km les séparent
A son retour d'un simple regard
Il posera son genou à terre pour sa dulcinée
Celle qu'il a choisie pour Maitresse pour l'éternité
Il faut te rappeler,
Rien ne peut s’oublier,
Ca ne s’enfuira pas.
Se souvenir encore
Des cordes si tendus,
Et le temps gagné,
À savoir comment ,
Occuper ces heures ,
Qui chauffaient parfois ,
A coups de cravache ,
Le cœur du bonheur,
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Moi, je t’offrirais
Des perles de claques
Venues au moment
Où tu ne t’y attends pas…
Je creuserai ta tête
Jusque même ton corps
Pour souffrir ton sort
De traces en tous genres…
Je ferais un domaine
Où le s/m sera roi
Où je serais loi
Où tu seras mienne…
Ne me quitte pas
Ne me
quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je t’inventerais
Des pièges insensés
Que tu aimeras.
Je te parlerais
Des soumises-là
Qui ont vu des fois
Leurs cœurs palpiter…
Je te raconterai
L’histoire de ce roi
Mort de n’avoir pas
Pu te cravacher
Ne me quitte pas
Ne
me quitte pas
Ne me quitte
pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Je n’ai vais plus sourire,
Je ne vais plus parler,
Je me planterais là,
A
te regarder.
Sourire puis pleurer,
Pour te consoler.
Laisse-toi
devenir,
L'ombre de ton ombre ,
L'ombre
de ma main,
L'ombre de mon chien,
Ne
me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas
Ne me quitte pas.
Jolie interprétation de la chanson de Jacques Brel ;-)
Voici une belle citation, tellement vrai .
« Le verbe aimer est un des plus difficile à conjuguer : Son passé n'est pas simple, son présent n'est qu' indicatif et son futur est toujours conditionnel. »
Jean Cocteau.
Un autre poème de à "a sa botte" :
Elle est jeune il est vrai mais aux âmes bien nées,
La valeur n'attend pas le nombre des années.
Si Rodrigue a du cœur c'est Chimène aujourd'hui,
N'en déplaise à Corneille qui décide pour lui.
Les Femmes ont toujours su avec humilité
Gouverner notre monde depuis l'éternité,
Si Adam était roi il n'en est pas moins vrai
Qu'en lui donnant la pomme, Eve l'a fait valet.
Les temps ont bien changé, les années ont passé
Et la Femme moderne ne veut plus se cacher.
Elle prend les choses en main, ne veut plus déléguer
Elle impose la gloire de sa Féminité.
Par son ventre sacré c'est Elle qui est Féconde
Elle n'a plus besoin d'hommes pour gouverner le monde.
Elle pourrait s'en passer pour avoir des bébés
Sortant d'un cadre obscur la science l'a libérée.
Du haut de ses vingt ans et déjà Milady
Elle sait toiser un homme, obtenir tout de lui,
Ce quel que soit son age puisque Divinité,
Elle n'accorde Ses grâces qu'à ceux qu'Elle fait plier.
Délicieuse et charmante, câline et enjouée,
Elle a besoin d'aimer mais se veut respectée,
Qu'il se mette à genoux comme un preux chevalier
Et dans un geste tendre qu'il embrasse Ses pieds.
Elle est hymne à l'amour, Déesse de beauté,
Intelligente et vive, Elle ne veut se tromper,
Trouver son idéal et même chez ses amis,
Elle ne conçoit un homme que s'il lui est soumis.
Il pourra être complice mais jamais son copain,
Lui devra le respect qu'on doit ou Féminin,
Femme des temps moderne, Chimène a bien changé
Mais à n'en pas douter, Rodrigue saura l'aimer.
Ce poème est de Odomar :
L'amante Dominante
Mademoiselle sourit Si longtemps elle a attendu
Cet amour, cet amour soumis
Elle contemple cet homme nu
Qui à ses pieds s’est étendu
Cet homme à ses pieds qui frémit
Mademoiselle chantonne
Elle ne désirait rien sinon
Que dans son cœur ce qui résonne
Joie de posséder ce garçon
Qui est tout à sa dévotion
Mademoiselle enfin rayonne
Mademoiselle rêva
Si longtemps, si longtemps en vain
Mais à la fin elle le trouva
Celui qui chaque beau matin
Lui baise tendrement la main
Toute tristesse alors s’en va
Mademoiselle domine
Celui qui l’aime et la vénère
Pour le griffer devient féline
Elle le dompte sans colère
Elle savoure sa prière
Car pour lui elle est la Divine
Mademoiselle se souvient
De ces jours et de ces années
Dont le souvenir lui revient Rêves brisés et fleurs fanées
De ses envies inavouées
Auxquels ils ne comprenaient rien
Mademoiselle rit Et s’éclaire son doux visage
Car ces temps-là sont bien finis
Dominer est son apanage
Pour la servir, lui rendre hommage
Celui qui l’aime est son soumis
Mademoiselle s’irrite S’assombrit et soudain se fâche
Son soumis sait ce qu’il mérite
Si son service se relâche
Il va connaître la cravache
De Mademoiselle comme un rite
Mademoiselle s’endort
Dans ses bras son soumis frissonne
Elle le serre de plus en plus fort
Dans son amour elle emprisonne Son esclave heureux de son sort
Mademoiselle punit et pardonne
Mademoiselle aime
Au cœur de la nuit en secret
Et jusqu'au petit matin blême
Elle domine sans un regret
L'esclave d’amour toujours prêt
Et c’est comme un bonheur suprême
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