Une condition précaire
Ce n’est un secret pour personne, la condition féminine est précaire et connaît encore bien des obstacles dans de nombreux pays. En Arabie Saoudite, notamment, la voix des femmes manque de visibilité et seulement 15% d’entre elles officient dans le monde du travail. Rien d’étonnant quand on sait que les saoudiennes ne sont pas autorisées à voter, ni même à conduire.
Face à ce constat, les autorités d’Arabie Saoudite ont entrepris un chantier d’envergure : créer une ville dans laquelle les femmes pourront librement évoluer dans le respect des lois de la Charia. Car cette ville qui sera interdite aux hommes sera exclusivement dirigée par des femmes, qui dirigeront et exécuteront les tâches dans l’ensemble des domaines de la vie courante. Ainsi, 5000 postes y seront créés pour assurer le bon fonctionnement de la ville. Interrogé par le Guardian, le porte-parole du projet se dit « certain que les femmes peuvent faire la preuve de leur efficacité dans bien des domaines et choisir les industries qui conviennent le mieux à leurs intérêts, à leur nature et à leurs capacités ».
Les femmes pour les femmes
A l’origine de ce chantier, des entrepreneuses saoudiennes qui souhaitaient offrir de nouvelles opportunités aux jeunes femmes nouvellement diplômées. Ainsi, dans un monde où les hommes dominent et prennent les décisions, elles espèrent porter la voix des nombreuses saoudiennes qui peuvent faire basculer les traditions les plus archaïques dans le monde moderne et changer la donne.
Si certains s’amusent de voir cette forme d’égalité passer par une discrimination évidente, force est de rappeler que les ambitions professionnelles des saoudiennes se heurtent quotidiennement aux lois de la Charia et aux propos émanant des instances religieuses. Ainsi, les saoudiennes n’ont pas le droit de travailler dans des endroits où elles pourraient se retrouver en présence d’hommes, pas plus qu’elles n’ont le droit d’accéder à des emplois où elles pourraient « séduire » ou « être séduite » par les hommes. Cette ville réservée aux femmes apparait donc comme une issue évidente et louable.
Autre avancée pour les saoudiennes, les promesses du roi Abdallah qui a annoncé l’ouverture du droit de vote aux femmes pour 2015. Le début d’une nouvelle ère pour les femmes en Arabie Saoudite ?
Les autorités d'une province indonésienne versent dorénavant le salaire de leurs fonctionnaires sur le compte des épouses, afin de combattre l'infidélité des maris, a-t-on appris vendredi de source officielle.
«Les hommes ne sont généralement pas capables de se contrôler s'ils ont trop d'argent sur eux», a expliqué Rifly Katili, porte-parole des autorités de Gorontalo, dans les Célèbes-Nord, une province du nord-est de l'Indonésie.
«Je suis certain que (cette mesure) va éliminer toute possibilité d'aventure extra-maritale», a-t-il ajouté pour justifier la décision de la région de verser le salaire de ses 3.200 fonctionnaires masculins sur le compte des épouses.
L'initiative a été mise en oeuvre sur la base du volontariat, et environ 90% des employés l'ont acceptée, a indiqué le porte-parole.
La mesure fait également suite à de nombreuses récriminations d'épouses se plaignant de ne pas savoir combien leur mari gagne, a-t-il expliqué.
(AFP)
Une nouvelle découverte : la falaka
Cependant, je ne l'utiliserai pas car c'est plus une torture infligé qu'une pratique "bdsm".
Cependant certains soumis maso peuvent l'endurer mais cela est très douloureux au vue de ce que j'ai pu lire et voir.
Définition : nom féminin singulier / pièce de bois permettant de serrer les jambes d'un condamné en Turquie pour lui bastonner les pieds.
Avant de commencer cet article, voici des morceaux de musique entrainant et swinguant ce qui nous manque en ce moment car le soleil se fait désirer (du moins ici).
Ca fait un certain temps que je n'a pas mis en garde les hommes qui se veulent ou qui sont soumis. Oui vous êtes un homme avec votre force musculaire qui vous place au dessus des femmes. Ceoendant, une fois attaché ...
Voici un article qui date un peu et que j'ai lu sur un forum où j'aime me ballader.
Faites donc attention messieurs à vous car vous restez des humains et donc vous restez vulnérable malgré tout.
Je suis entrain de ranger ma chambre et de trier mes affaires chez mes parents car mon employeur va me proposer un cdi à la fin de l’année (pas forcément dans ma ville mais enfin c’est quand même une super nouvelle). Maintenant, je sais que je ne reviendrais plus chez mes parents comme j’avais pu le penser au départ. Car j’avais des cdd qui étaient reconduit sans cesse et je me disais que le jour où ils ne seraient plus prolongés. J’aurais toujours la possibilité de remonter dans le Nord chez mes parents si mes allocations chômage ne me permettaient pas de vivre comme il le fallait. Cela ne m’enchantait pas car cela voulait dire m’éloigner à nouveau de mon homme et revenir en quelque sorte à la case départ. Enfin, ne pensons plus à cela.
C’était donc un article tiré du sketch des « Les Deschiens » intitulé « Les Cyberchiens » par Morel et Saladin.
Télérama avait tout comme moi beaucoup apprécié ce sketch et en avait donc fait un article que j’avais pris soin de découpé et de garder précieusement dans mes affaires classés dans mon bureau. Ils ont retranscrit quasiment l’intégralité du sketch.
Voici la retranscription de l’article :
« C’était le 1er février, sur Canal +. Chez Les Deschiens, on découvrait le cd-rom (le cd-quoi ?) et internet.
- Ah, mais, c’est sûr. Maintenant, vous aurez dans toutes les maisons…tout le monde… Vous aurez des cd-rom, c’est sûr. Ca c’est sûr, c’est un gros marché.
- Tout le monde, il faut bien se faire à cette… Vous aurez, tout le monde aura…
- Euh. C’est bien d’en avoir pour…pour offrir.
- Vous aurez des cd-rom partout. Vous pourrez, on pourra se les offrir, c’est sûr. C’est une bonne idée de… à l’approche des…
- Parce que, moi j’en bois pas du tout. J’aime mieux une petite Marie Brizard et j’aime pas le punch. Et vous ne me verrez jamais… et jamais… Ca me fait tourner la tête.
- Non ! Non ! Mais je vous parlais pas de ça. Non ! Non ! Je disais : vous aurez des cd-rom…
- J’en bois pas moi.
- Oui, d’accord !
- Par contre, pour offrir…
- Vous aurez… Ce sera comme des disques. Vous mettez ça dans votre machine, hein et puis vous aurez…
- Ca sert un verre tout de suite, la bouteille sort, c’est le modèle…
- Mais non ! Vous aurez accès, grâce aux cd-rom, vous aurez accès à l’information. Vous pourrez même grâce, si vous voulez… Même vous n’aurez même pas besoin, tout le monde… vous pouvoir avoir accès…
- Vous pourrez, vous pourrez avoir…même faire vos courses avec l’Internet.
- Eh ! J’ai un Continent. J’veux pas aller à l’Internet. Où qu’c’est votre Internet ? J’ai le Continent qu’est à trois kilomètres et je vais pas aller m’emmerder à l’Internet qu’est où ça ?
- Mais non ! Je vous explique, je vous dis… je vous dis que vous pourrez faire vos courses avec l’Internet, même chez vous, en pianotant chez vous, vous pourrez même pianoter et que vous aurez…que vous ferez même vos courses avec…
- Vous devez vous tromper de personne, parce que premièrement, j’aime pas le rhum ;deuxièmement, je vais au Continent ; troisièmement, je joue pas de piano. Alors j’sais pas… Vous êtes complètement…complètement, vous…
- Mais non ! j’vous dis qu’on est parti pour le multimédia. C’est fait.
Avant c’était les journaux qui permettaient aux personnes de se rencontrer via une petite annonce dans la presse. Vous allez me dire que cela se fait toujours. Je ne le conteste nullement cependant cela tant à se perdre avec internet.
Avant on ne rencontrait que des personnes de sa région car c’était le journal soit local ou tout au plus régional qui diffusait ces annonces. Maintenant avec internet, il n’y a plus de barrière. C’est un bien finalement pour un mal. Car on en oublie presque que la personne n’habite pas la porte à coté et on se met à s’attacher à cette personne. Pourtant cette personne n’est qu’un pseudo parmi d’autres, une discussion virtuelle où on peut tromper l’autre sans soucis.
Je me rappelle de cette chanson car il y a un peu plus de deux ans. J’avais fait connaissance sur internet d'un jeune homme de ma région et on discutait via webcam audio. C’était finalement très bizarre car son image était en grand écran sur l’ordinateur et on se parlait normalement. Chacun était installé confortablement chez soi. C’était parfois un peu « frustrant » car j’avais presque envie de le toucher tellement que ça faisait réel même si cela restait du virtuel. Finalement cela s’est fini car il n’était pas entièrement remis de sa dernière histoire et s’était excusé… Enfin basta, il était bizarre car c’était un steward avec le mal de l’air lol.
Cette après midi en l’entendant à nouveau, bizarrement je n’ai pas pensé à ce jeune
homme qui pourtant coïncidé avec la sortie de cette chanson. Mais étrangement, j’ai pensé à mon p’tit virus et la façon dont on s’est rencontré. Comme quoi c’est vraiment un virus, il a
réussi à « viruser » mon cerveau au point qu’une chanson qui était normalement relié à une personne soit tout simplement balayé pour être remplacé par lui. ;-) En même temps, ça va
faire trois semaines, si je ne me trompe pas que je ne l'ai pas vu car il était en vacances.
Il n’était au départ qu’un internaute lambda, un soumis parmi tous, un jeune homme lointain, une discussion parmi d’autre, un pseudo au milieu d’autre… Puis comment est -il sorti de la masse, je ne sais pas surtout qu’à mon souvenir il n’a rien fait. Puisque c’est moi qui est venu lui parler sur un tchat d’un forum bdsm. Ce qui est encore plus étrange, c’est que je ne donne que très rarement mon adresse msn puisque c’est mon adresse aussi vanille. Lui, je lui ai donné quasiment de suite. Vous allez me dire peut être le feeling, oui très certainement. Je ne vois que cela car il n’avait rien pour m’attirer au départ car il n’était qu’un jeune homme habitant loin intéressé par le bdsm, peut être un fantasmeur comme il y a en a beaucoup. Enfin rien qui ne me prédisposait à le rencontrer et encore moins à m’y attacher et pourtant. C’est peut être bête à dire mais je sentais comme un genre d’osmose entre nous deux même si finalement il n’était qu’un internaute et rien ne me certifiait de ce qu’il disait être. Avant de le rencontrer en vrai, j’avais déjà programmer de rencontrer un soumis parisien. Malgré qu’il soit mignon, habitant plus près (paris), un peu plus âgé que moi et qu’il essayait de me séduire. Je ne me pouvais m’enlever de la tête ce jeune homme habitant en Rhône Alpes. Pourquoi, je ne sais pas. Pourquoi à votre avis, je l’ai surnommé « mon p’tit virus ».
Lorsque je suis partie en vacances au Canada même là bas, il me trottait dans la tête alors qu’il n’était qu’un internaute, un soumis parmi d’autres. Puis des soumis, j’en avais déjà à ma disposition dans le Nord. Mais non, au Canada, j’avais plus envie de bdsm. Je voulais faire une pause mais pas une pause avec lui. Là bas, cela me manquait de ne pas lui parlait sur msn avec sa webcam pour que je puisse voir sa belle bouille. Donc après qu’on ne me dise pas s’il vous plait que les hommes et les femmes sont attirés les uns par l’autre par le biais de phéromones ou tous autres procédés chimiques qui se dégageraient de nous pour séduire l'un l’autre. Là, il n’y avait pas de raison chimique mais juste mentale.
Des vibros dans le tricot
Tout commence au hasard d’un magazine de tricot du début du XXe siècle, lorsque en 1971, Rachel Maines tombe sur une publicité vantant une marque de vibromasseur. Tiens donc! L’objet ne ressemble en rien aux joujoux phalliques qu’elle connait, mais s’apparente plus à un fer à repasser ou à une perceuse. En gros, le degré zero de l’érotisme.
Après quelques recherches, elles découvre avec stupeur que l’histoire de ces appareils vibrants est intimenent liée à la médecine. Les éminents barbus en blouses blanches du XIXe siècle affirmaient que pour soigner l’hystérie féminine (un terme pseudo-médical qui recouvrait de nombreux symptômes), rien ne valait des massages génitaux.
Des massages complexes relégués aux infirmières
Soufflée, la chercheuse abandonne rapidement son historique des pelotes au profit de celle, nettement plus sombre, du pelotage. Et va de surprises en surprises. Avant l’arrivée des vibromasseurs, les médecins se devaient de soulager leurs patientes... manuellement. Une tâche «ardue, ingrate et complexe» qu’ils abandonnaient volontiers à une sage-femme ou une infirmière. Pensez-donc, il fallait plus d’une heure au praticien pour parvenir à un «paroxysme hystérique». En bref, à un orgasme. Les premiers vibromasseurs des années 1880 ont donc été accueillis avec enthousiasme: au lieu d’une heure, le «massage» est devenu «efficace» au bout de dix minutes. «Cette découverte a été une claque pour les féministes du début des années 70, explique Christian Marmonnier, auteur de Gode’s story aux éditions Seven 7. Elles ignoraient que les médecins avaient à ce point tronqué une partie de la sexualité des femmes, à une époque où la masturbation était formellement proscrite.»
Les thérapeutes n’y voyaient rien de sexuel, puisqu’ils ne concevaient pas que ces dames puissent ressentir du plaisir autrement que par pénétration. Les patientes, elles, n’étaient pas dupes et défilaient dans les cabinets médicaux, d’autant que les spécialistes de l’époque avaient le diagnostic d’hysterie un peu facile. Epouses frustrées, veuves esseulées et même bonnes soeurs représentaient une manne financière, certes, mais qui demandait du temps. «J’ai beau le savoir, j’ai encore du mal à imaginer les femmes de bonne famille écarter les cuisses devant ces appareils qui ressemblent plus à des instruments de torture que de plaisir, sous les conseils de medecins stoïques, pendant que leurs maris attendaient patiemment derrière le paravent», frissonne Christian Marmonnier.
Le 5e appareil domestique le plus vendu.
Au début du XXe siècle, l’appareil quitte le cabinet médical pour le domicile privé. Les campagnes de pub de l’époque vantent «la jeunesse et le bien-être» que procurent cet engin vibrant. On conseille aux maris d’en offrir à leurs épouses. Tant et si bien qu’il devient rapidement le cinquième appareil électroménager le plus vendu après la machine à coudre, le ventilateur, la bouilloire et le toaster... En toute hypocrisie puisqu’à aucun moment il n’a été associé officiellement au sexe et à la masturbation. «Les photos montraient des femmes qui les posaient chastement sur leur joue ou leur nuque, confirme Baptiste Coulmont, seul sociologue francophone à s’être interessé au sujet. Ces objets ont finalement perdu leur camouflage médical lorsqu’ils sont apparus dans les premiers films pornographiques des années 20.»
Tiré du site : www.lesquotidiennes.com link
Janvier 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | ||||||
6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | ||||
13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | ||||
20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | ||||
27 | 28 | 29 | 30 | 31 | ||||||
|