J’ai des soumis avec qui j’avais des contacts avant de connaitre et de débuter ma relation avec mon p’tit virus qui me disent que je leurs donne du courage dans leurs recherches car une femme qui prend un réel plaisir à la Domination cela existe. Un plaisir qui ne vient pas de douleurs passés ou mue par un besoin de vengeance qu’il soit conscient ou inconscient.

 

Comme dans tous, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac. Il y a les vénales qui le reconnaissent ou non, les physiques, les psychologiques, les novices et les expérimentés… on est toutes différentes et on a toutes notre passé et notre parcours qui nous amené jusqu’ici.

 

Sincèrement, je pense que la domination ou la soumission ont là dans la tête et dans le sang dès le départ même si c’est inconscient. Je vois bien plus j’avance et plus je remarque des choses qui paraissaient insignifiantes finalement ont un lien avec le milieu de la d/s.

 

Depuis toujours :

 

-     J’aime me bagarrer contre les hommes et utiliser leurs faiblesses (par exemple beaucoup d’hommes craignent les chatouilles). Je pensais que c’était mon coté masculin qui s’exprimait et finalement …

-    J’ai aimé les publicités kookai que j’avais collé dans mon agenda au collège

-    J’avais déjà l’idée étant jeune de contrôle sur un homme (du genre attaché sur un lit à l’abri des regards des autres et ainsi livré à moi sans défense)

-    J’aimais tous ce qui était contrainte physique même si je ne réalisais rien mais je le voyais dans des films ou séries

-     Quand je voyais des scènes où un homme était livré sans défense à une femme, j’aimais les voir (genre dans la série buffy contre les vampires quand Angel est sous les griffes de Drussila et il est ainsi sous l’emprise et la volonté de cette femme et ainsi livré à elle sans défense)

-     Quand je vois un homme attaché avec un regard particulier (comme dans le clip « trouble » de Coldplay) => d’ailleurs je suis très sensible au regard du soumis, j’aime ça le regardait pendant que je m’occupe de lui. Un regard trahit beaucoup d’émotions.

-         

 

De même pour les soumis, ils sont attirés par les pieds féminins pour les fétichistes, proposent à leurs petites amies de les attacher mais sans savoir trop comment en parler et leurs dire ce fantasme de soumission… C’est un milieu mal vu que beaucoup de personnes pensent malsain, glauques, avec des personnes ayant eu des problèmes de violences, de viols, de manque d’amour, d’attention… Bien sûr oui, il y en a mais il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac. J’ai eu une vie paisible, tranquille, heureuse, choyé par ma famille, ayant des amis, une vie sociale et affective qui me convient… Disons que rien ne pouvait me faire penser qu’un jour je serais Maitresse et pourtant… !

 

DONC IL FAUT ARRETER AVEC CES STEREOTYPES IDIOTS ET NON FONDES. DES PERSONNES SONT DOMINAS OU SOUMIS NON PAS PARCE QU ELLES ONT EUX DES PROBLEMES ETANT ENFANTS OU PARCE QU'ELLES ONT ETE BATTUES, VIOLEES OU JE NE SAIS ENCORE. MAIS PARCE QUE TOUT SIMPLEMENT LA D/S LEUR PLAIT, TOUT COMME MOI QUI AIME LA DS, QUI AIME ME RENDRE EN SOIREE, QUI AIME RENCONTRER D’AUTRES DOMINAS, DISCUTER ET ECHANGER SUR CE SUJET, QUI AIME S'OCCUPER DE SON SOUMIS, QUI AIME L’EDUQUER, QUI AIME AUSSI LA VIE VANILLE AVEC LES SORTIES EN BOITE, LES SORTIES ENTRE AMIS LE CINEMA ET AUTRES…

 

STOP A CES PREJUGES IDIOTS ET SANS FONDEMENT.

Par Lady Ariciaa
Vendredi 24 octobre 5 24 /10 /Oct 14:40

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Ces publicités datent des années 1996 / 2001

Au début, les kookaiettes jouent avec les hommes et ils deviennent des hommes objets. Cela date pourtant de un peu plus de 10 ans mais déjà elles avaient eu écho en moi et je les avais collées dans mon agenda scolaire.

A force de ne pas faire attention à son jouet, on risque de le casser et surtout qu'il n'y ai plus de jouet. Donc vers 2001, la Kookaiette défend l'homme pour garder son jouet toujours à disposition et pouvoir jouer autant de fois qu'elle veut.

Voici les affiches publicitaires :
 
  












Voici un musée virtuel des publicité Kookai :

Par Lady Ariciaa
Jeudi 23 octobre 4 23 /10 /Oct 23:30

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J'ai vu une publicité à la télévision très gynarchiste.

Leur slogan c'est " les chaussures supérieures pour le sexe supérieur"

Je la mettrais d'ici peu car elle est excellente et elle plaira beaucoup aux fétichistes des pieds.

C'est très à la mode les publicités fétichistes ou ayant un petit coté sm ou suprématie / gynarchiste. Dans les publicités on donne un coté idiot aux hommes comme celle où l'homme prend le croissant à la place du combiné téléphonique. La femme n'est plus la femme objet maintenant elle devient plutôt la super woman, la working woman.

Par Lady Ariciaa
Mardi 21 octobre 2 21 /10 /Oct 21:38

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J'ai parler avec une Domina belge d'une soirée bdsm arreté par la police car la musique était trop forte.

En fait, les voisins ont appelés la police (et la police belge ça ne rigole pas) et ils ont eu une grande surprise en voyant des hommes attachés et fouetter voir autres. Ils ont  embarqués les femmes car la convention de Genève interdit les mauvais traitements et le rezspect de la dignité humaines. mais les hommes ont réussis à faire en sorte que les femmes soient relanchés sans aucunes plaintes retenus contre elles. Car même consentents...

Voici un article sur le bdsm et la loi tiré du forum "doctisimo"

 

Sadomasochisme : le droit de se faire mal ?


Dans les pratiques sadomasochistes, la souffrance côtoie le plaisir sexuel. Qui dit souffrance dit blessures, plaies. Le responsable des sévices tombe-t-il sous le coup de la loi malgré le consentement de la victime ? Peut-on en toute impunité blesser un être humain même si celui-ci le demande ?



Les  tribunaux britanniques et la Cour européenne des droits de l'homme ont dû plancher sur cette question complexe voilà quelques années. L'affaire a débuté par la découverte fortuite en 1987, par la police anglaise de casettes vidéo d'un club de rencontres sadomasochistes. Une cinquantaine d'hommes étaient concernés. Les actes sexuels filmés se sont déroulés pendant une période de 10 ans. Ils comportaient des sévices des organes génitaux avec de la cire chaude, du papier de verre, des hameçons, des aiguilles et également des corrections rituelles à main nue, au martinet ou avec des ceintures cloutées. Tous les participants étaient adultes et consentants. En 1990, plusieurs participants ont été inculpés et déclarés coupables de violation de la loi des atteintes aux personnes. Cette loi anglaise de 1861 stipule que : toute personne qui blesse ou inflige une douleur sérieuse à une autre personne illégalement et avec l'intention de nuire, avec ou sans armes ou instruments, est passible d'emprisonnement.



Des sévices consentis



Si dans cette affaire ces hommes ont été condamnés à des peines d'emprisonnements de 2 à 4 ans, dans d'autres domaines la société permet des "sévices". Certains plus anodins bien sûr ! Vous pouvez demander des peercings, des tatouages, le tatoueur ne sera pas tourmenté par la justice. Pourtant, il y a là aussi, douleurs et "blessures" physiques définitives librement consenties.  Par ailleurs, il n'existe qu'une partie du corps qu'un chirurgien peut vous amputer uniquement à votre demande sans raison médicale : le prépuce. La circoncision est une mutilation volontaire légale. Pas toujours volontaire d'ailleurs puisqu'elle est pratiquée chez des enfants qui ne peuvent donner leur consentement !



Et puis il y a la boxe. Vous pouvez recevoir et donner des coups pour le "plaisir" dans le cadre de ce sport sans tomber sous le coup de la loi. Alors qu'on sait les dégâts funestes de ses coups de poing sur le cerveau des boxeurs !



Deux poids, deux mesures ?


Pourquoi ces différences ? Sinon que les lois sont faites en fonction de la morale à une époque donnée. Dans les faits, les hommes condamnés ont été punis pour avoir infligé des douleurs et des blessures à autrui, mais en réalité c'est leur choix de sexualité qui a été jugé.  Pour la majorité de nos contemporains se donner des coups sur un ring  ou sur un terrain de rugby n'a rien de scandaleux par contre éprouver du plaisir sexuel dans des pratiques douloureuses n'est pas permis. Le poids de la morale a joué en leur défaveur.


Dans des domaines plus graves, la loi ne laisse pas de choix non plus. Mais là on le comprend mieux, la vie d'autrui est en jeu. Le duel est hors la loi et le consentement des deux protagonistes ne met pas à l'abri des poursuites. De même assister quelqu'un qui se suicide est considéré comme un homicide.


Et le droit à la vie privée ?


Les hommes poursuivis dans ce procès ont tenté de faire valoir devant la Cour Européenne des droits de l'homme, leur droit à la vie privée. Considérant que tout ce qui c'était passé dans ce club de rencontres ne concernait qu'eux, les casettes vidéos n'étant pas vendues mais diffusées aux seuls membres. Au Royaume-Uni depuis 1957, l'homosexualité est ainsi décriminalisée si les actes se déroulent dans la sphère privée.  Mais la Cour Européenne ne leur a pas donné raison. Elle a considéré que l'orientation et les comportements sexuels concernent un aspect intime de la personne, mais que malgré tout dans un pays démocratique, l'immixtion de la justice dans la vie privée peut parfois être nécessaire. La Cour Européenne reconnaît le droit des états à se saisir de toute affaire qui entraîne des blessures physiques

Par Lady Ariciaa
Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 19:58

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Voici un article que j'ai trouvé sur un blog d'une soumise (Aurora). J'ai voulu le mettre car j'ai certains de mes anciens soumis qui disent que étant un homme, ils n'ont rien à craindre d'une femme. Mais une fois attaché...

Je suis tout à fait d'accord avec ce qu'elle a écrit et je n'ai rien changé à son article car ça aurait pu être moi qui l'avait écrit car je suis d'accord avec tous ce qu'elle a écrit.

"Cette note parle de la mort d’un jeune homme soumis au cours d’une séance de BDSM et plus précisément de bondage par momification. Et du suicide du « maître » qui présida la session dans le Massachusetts. Du procès post-mortem qui se déroule ces jours-ci.

 

Vous irez lire ici pour comprendre (mais un peu plus bas, il ya une traduction ou plutôt un résumé de l'article. J’évoque rarement ces faits divers sur mon blog.

Tout simplement parce qu’ils ne font que contribuer à jeter l’opprobre sur une communauté à la sexualité particulière qui fait, parfois, déjà peur de par sa seule existence.

 

Vivre est une maladie mortelle pour nous tous.  On le sait, nous n’en sortirons pas vivants. Le simple fait de franchir notre porte le matin n’assure pas que nous rentrerons le soir. Tout le monde a eu, un jour ou un autre, une « conduite à risque », ne serait-ce qu’en prenant le volant fatigué ou en ayant bu le verre qu’il ne fallait pas. Trois à cinq cas de décès par an dénombrés statistiquement et dus à des pratiques BDSM, cela est bien peu. Il  y a, aujourd’hui encore, beaucoup plus de contaminations par le sida dans des relations « classiques ».  Ne l’oubliez pas avant de crier « Haro ! ».  Mais ces trois à cinq morts sont "nos" morts de trop.

 

Reste en effet le fait que ces pratiques -et nous ne le répèterons jamais assez- ne sont pas anodines, qu’on l’oublie trop souvent depuis que l’effet de mode tend à faire du BDSM un « jeu » ouvert à tous.

 

Il est une question que nous avons en tout cas toujours soulevée ici : le danger que représente une relation « immédiate » avec un inconnu, relation née dans le domaine du virtuel. Il en est une autre que peu de pratiquants voudront admettre, même à la lecture de ce lien : l’expérience n’est pas tout, on ne peut se fier à quelqu’un sur une simple « carte de visite » ou les photos d’un beau donjon.

 

Si j’ai choisi finalement, après quelques jours de réflexion, de vous donner accès à ce document, c’est parce qu’il interroge très bien juridiquement à travers ce procès (mais au regard de la loi américaine) les limites de la notion de « consensuel ».  Le « C » de « Safe, Sane and Consensual ».

 

Cette note s’adresse surtout à des adeptes du BDSM.  Ceux-là savent mieux que les autres (qui ne connaissent le BDSM qu’à travers quelques blogs comme le mien) qu’il y a -au-delà de la relation sadomasochiste au sein d’un couple amoureux, complice et en parfaite harmonie- des  sessions extrêmes entre partenaires d’un bref instant et des gens qui les recherchent telles quelles (mais dans l’inconscience que celles-ci pourraient entraîner leur décès).

 

Parmi les non pratiquants, seuls ceux qui -par exemple- connaissent quelques anecdotes de la « vie privée » et des séjours new-yorkais de Rainer Werner Fassbinder ne seront pas étonnés.

 

Cette affaire est si loin de ce qui est généralement abordé ici qu’elle pourra surprendre mais le BDSM, oui, c’est aussi cela.

 

Et il serait bon, justement parce que nous ne sommes pas sous le coup de la loi US, que la partie de la communauté BDSM dite « hard » réfléchisse bien au sens des mots « risque » et « responsabilité » et ne se retranche pas toujours derrière la seule notion de « consentement ».

 

Parce qu’un accident (ici, les trois heures fatales de sommeil du « maître »), quand on « joue » sur le registre dur, ça peut arriver à tout le monde.

 

   Résumé de l'article en anglais :

 Ils s'étaient rencontrés sur Internet, il a traversé l'atlantique pour aller chez LeBlanc. Après le décès d'A. Exley, LeBlanc a signé un papier de 5 pages, et s'est envoyé une balle dans le crâne. Mais il apparaît que LeBlanc était considéré comme un "hard side player", ie. un jouer de l'extrème. Après le décès d'Adrian Exley, des gens se sont présentés à la police signalant qu'ils avaient été ligottés par LeBlanc durant de longues périodes, signalant qu'ils en avaient assez, sans que LeBlanc ne cesse le jeu. Entre Exley et LeBlanc, la session a duré 3 jours ; c'est un troisième homme, Scott Vincent, qui a découvert que Exley ne respirait plus. Il était dans un placard, momifié dans du plastique jusqu'au cou, la tête recouverte d'un heaum de cuir avec un fin tuyau de plastique lui permettant de respirer. "Ce n'est pas parce que vous donnez votre accord pour une session de bondage que vous acceptez d'être mis dans des conditions dangereuses -- laissé seul durant de longues périodes --, ou d'être abusé par le "top" Ces deux actions vont à l'encontre des protocles de bondage, qui dit que les participants doivent arrêter si l'un des partenaire utilise un "safe word" -- mot de secours ; ils disent aussi que personne ne doit être laissé sans surveillance " dit Susan Wright, porte parole de la National Coalition for Sexual Freedom. Pour Brian Plant, adepte de la grande et merveilleuse secte BDSM outre-atlantique : "Personne ne vient jouer en se disant "Oh, je vais mourrir à cause de ce qui va se passer". Vous franchissez une ligne jaune à un moment donné, et cela n'est plus dut tout un jeu consensuel." Kathy Jo Cook, légiste, dit que lorsque vous ôtez les détails croustillants et sensationnels de cette histoire, on en revient aux mêmes problématiques que dans les autres cas de décès "La loi américaine dit que si une personne en tue une autre par négligence ou inconscience, cette personne est coupable. Vous avez le devoir de rester raisonnable. Je pense qu'il s'agit de la même chose ici, abstraction faite du caractère étrange des faits."

 

Par Lady Ariciaa
Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 19:33

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Voici deux jeunes filles et un hommr vendus aux enchères dans une cage de verre. L'homme est lui menottés pour rester tranquille. Tout cela se passe dans les halles de Paris au milieu d'autres objets...

C'est sérieux, même trop sérieux.



Explication :

Des cages de verre, en plein Forum, au milieu des passants. A l'intérieur deux jeunes femmes, un homme enchaînés, avec leurs prix de vente affichés : 20 000, 15 000 euros... La mise en scène est de la fondation Scelles
, en partenariat avec la Commission européenne des droits de l'homme; l'objectif, d'alerter l'opinion sur  l'ampleur d'un phénomène qu'on a du mal à croire encore existant.

  
Ils seraient pourtant 300 000 - hommes et femmes - à rapporter 30 milliards de dollars par an aux proxénètes. C'est à l'occasion de la Coupe du monde de football, en 2006, qu'a été décidée une "politique européenne de lutte contre la traite des êtres humains". Quand il fut question d' "importer" 40 000 prostituées d'Europe de l'Est pour répondre à la demande qu'allaient générer un public et des joueurs masculins, l'indignation soulevée par l'annonce porta ses fruits. 18 Etats ont aujourd'hui ratifié la convention du Conseil de l'Europe, les derniers en date étant l'Espagne, la Suisse, le Monténégro.

 Ce n'est pas gagné. Selon un sondage datant de 2003, les Français seraient 63% à se prononcer pour la réouverture des maisons closes - comme si de bonnes conditions d'hygiène effaçaient le scandale d'une exploitation que l'ONU jugeait en 1949 "incompatible avec la dignité de la personne humaine". Les stéréotypes ont la vie dure, surtout lorsqu'ils ont été véhiculés et perpétués
par ceux qui ont le moins à en souffrir. Marthe Richard (à droite) savait à quoi elle s'attaquait, en faisant fermer en 1946 des "human shops" où elle-même avait séjourné.

  
Par Lady Ariciaa
Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 19:02

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Voici une chanson que j'adore, le film aussi même si c'est un bête ce jeu de l'amour mais bon...

Zazie - La Vie En Rose (BO Jeu d'Enfant)




Par Lady Ariciaa
Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 18:26

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J’ai remarqué que peu de couple d/s ont moins ou au alentour de 25 ans. La plupart ont entre 40/60 ans et voir plus. La trentaine si un peu plus mais la d/s fait peur en couple, j’ai pu constater. Car il y a la peur d’avoir un soumis ou esclave tout le temps et la plupart des femmes n’en veulent pas tout comme moi. Je voulais une relation vanille teinté de d/s, voir une relation d/s à 50/50.

 

Les soumis ou soumises de 20/25 ans environ ont souvent des Maitresses ou Maitres bien plus âgés qu’eux. Là effectivement, il y a pas mal de jeunes mais beaucoup de jeunes hommes attirés par le milieu bdsm. Bien sur aussi des femmes mais je pense que proportionnellement il y a plus d’hommes que de femmes dans cette tranche d’âge. Car la découverte du bdsm est assez un fantasme masculin, celui de se faire dominer par une femme.

 

Je ne connais qu’un couple de mon âge qui soit un couple d/s sérieux comme le notre. Souvent c’est plutôt des couples désassortis coté âge comme je disais précédemment. Puis il y aussi le coté vénale qui gâche tous. Là oui il y a des jeunes femmes dominatrices mais c’est l’appât du gain qui les a fait venir au bdsm.

 

J’aime la domination mais je n’ai aucunes envies de ce rapprochement financier. Je n’ai jamais voulu de cadeau de la part de mes soumis. J’ai accepté une fois une robe mais ce fut un   cas exceptionnel car  beaucoup de personnes bdsm que je connais m’ont dit que je pouvais accepter vu que c’était en vue d’une soirée bdsm. Puis juste une boite de chocolat et un bouquet de fleurs par deux soumis différents alors que j’en ai une quinzaine et une dizaine de rencontres juste amicales sans domination.

 

Après je ne parle pas des restaurants car c’est autre chose. Je ne pouvais rencontrer le soumis dans un endroit privé donc le restaurant faisait très bien l’affaire pour cela. Puis je ne cache pas que j’aime aller au restaurant donc c’était un moment aussi de plaisir culinaire pas seulement de rencontre bdsm.

 

Je ne regrette en rien d’avoir connu ce milieu même si j’ai eu quelques doutes dans l’avenir de ce milieu, quelques hics dans ma vie à cause du bdsm… mais beaucoup de positif en ressort et surtout j’ai rencontré mon soumis que je ne pensais pas rencontrer un jour. Je ne pensais pas que le bdsm en couple était possible comme beaucoup de jeunes personnes de mon âge. On se dit que ce n’est pas adapter pour une vie en couple car il est vrai que c’est spécial.

 

Pour notre âge, il est vrai que cela peut paraitre surprenant voir insolite ou inhabituel mais quel plaisir d’être en couple d/s quand on a trouvé notre autre avec les mêmes aspirations d/s et vie vanille :- )

Par Lady Ariciaa
Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 15:20

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Pourquoi un couple d/s devrait être forcement à 100 % ?

J'ai revu une Domina que j'avais rencontré en Belgique lors d'une soirée bdsm. Elle avait découvert ce milieu depuis peu et ne voulait pas d'une relation 100 % d/s en couple. Elle me disait mais qu'elle ne savait pas si elle allait continuer car elle ne voulait pas d'un soumis tout le temps.

Il est vrai que beaucoup de couple Domina / soumis sont à 100 % mais comme je lui disais c'est à elle de définir sa relation. C'est elle la Maitresse, c'est elle qui décide de ce qu'elle veut, ce qu'elle désire, elle tient les rennes de la relation. Elle ne doit pas prêter au soit disant règles ou mode de vie d'une Domina édicté par certaines personnes. Il est vrai qu'elle connait un couple qui est 100 % d/s et les personnes à la soirée sont 100 % donc forcément étant nouvelle elle a du mal à se faire son propre jugement.

Je lui ai parlé de mes appréhensions aussi au départ, de mes doutes. Mais surtout je pense que comme elle n'a pas eu d'expérience vraiment. Elle n'a jamais eu un harem de soumis donc elle n'a pas pu s'exercer. Je ne peux pas dire que j'ai eu un harem car je n'aime pas ce terme mais il est vrai qu'avant mon p'tit virus, j'ai eu une quinzaine de soumis sous les mains plus ou moins novices. 

Puis en couple, c'est encore une autre vision de la d/s car tu ne fais pas certaines choses que tu aurais fait avec tes soumis. Car ce n'est pas un de tes soumis mais ton petit ami donc tu es plus attentive, tu oses moins au départ... J'ai toujours été je pense compréhensive et attentive à mes soumis mais là l'amour s'en même donc c'est une autre facette de la d/s.

Enfin, je pense qu'il faut d'abord se faire la main ou alors que le soumis ai déjà une petite expérience et de même pour la Domina. Un couple de novice à 100 % ou même à 50 %, c'est assez moyen car tous les deux vont tatonner et elle ne va pas oser certaines choses et lui peut refuser certaines choses.

Après en couple plus le temps passe et mieux tu connais l'autre. Donc tu sais mieux comment le prendre, tu connais ses appréhensions, tu tentes plus de choses, ton imaginaire se débride petit à petit... Disons que c'est une relation qui est assez fusionnel et intense qu'avec un soumis parmis d'autres. 

Il est aussi plus dur d'être Maitresse avec lui au départ car tu as des sentiments donc tu n'oses pas trop punir au départ, tu ne sais pas trop comment tu peux être et ce que tu peux te permettre, aimant l'autre tu te poses beaucoup plus de questions. Enfin, je parle pour les couples plus ou moins novices ou les couples jeunes qui n'ont pas eu d'autres partenaires d/s ou des déceptions ou des blessures amoureuses comme certaines Dominas de 40/50 ans voir plus. 

Par Lady Ariciaa
Jeudi 16 octobre 4 16 /10 /Oct 10:58

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Ils me font sourire ce qui se jette au pied d’une Domina mais virtuellement et utilise «  Maitresse «  à gogo. Mais est ce que ils franchiront le cap du réel, j’en doute pour beaucoup.

 

Je constate que c’est un milieu qui attire et attise la curiosité certes mais parfois une curiosité malsaine voir glauque car ils partent dans leurs délires. J’ai parfois des commentaires sans fondement où il y a des questions qui montrent bien que la personne fantasme. Elles s’imaginent mais ne mettront jamais en pratique.

 

Il est vrai qui dit fantasme dit imaginaire. Mais on peut allier fantasme et imaginaire avec la réalité. C’est ce que font les couples bdsm / ds qui soit à 100 % ou non. Quand je m’occupe de mon soumis mon imagination et mes fantasmes sont à leur paroxysme.

 

Je vois aussi dans les écrits sur certains sites que cela ne peut être réel ou alors une partie très infime. On ne peut dégrader un être humain à ce point surtout si c’est notre partenaire, après si c’est une Domina vénale c’est autre chose car elle exécute les demandes de l’autre.

 

C’est un monde qui attire énormément de curieux surtout depuis internet. Avec cette facilité de se cacher derrière son pc, derrière un pseudo. Internet est un fabuleux moyen de communication mais aussi un instrument de toutes les démences des hommes. On peut se livrer au voyeurisme, à des choses pas vraiment morales, à des trips gores…

 

Disons que internet est un miroir de notre société qui parfois est décadente avec ses dérives.

Par Lady Ariciaa
Mardi 14 octobre 2 14 /10 /Oct 10:35

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