La domination

La d/s c'est des sensations en perpétuel renouvellement, en permanence de nouvelles sensations, de nouvelles découvertes. C'est électrisant ce sentiment de pouvoir, de pouvoir jouer avec l'autre tel un joujou. De laisser son imagination aller, se laisser aller à nos envies, désirs.

 

Cependant, c'est (pour moi) aussi le plus dur de me laisser aller à mes envies, mes désirs, mes idées. J'arrive de plus en plus à me laisser aller à mes envies et à les réaliser et ainsi découvrir une myriade de nouveaux plaisirs et de sensations. J'aime cette sensation de pouvoir, de voir le regard de l'autre et de jouer avec en me préocuppant seulement de mes envies (en essayant) de faire abstraction de mes "barrières".

 

J'aime voir son regard, son regard de "mâle soumis". J'aime le voir soumis à moi, à mes pieds en étant à genoux avec son collier au cou :-) J'aime le voir obéissant en se pliant à mes envies, désirs et plaisirs du moment. Plus j'avance et plus je deviens "physique" car la confiance s'établie de plus en plus, on se laisse aller de plus en plus à l'autre. Vous allez me dire qu'il était temps que la confiance s'établisse. Non en fait, elle y est depuis le début   mais on ne lâche pas prise si facilement, notre coté "vanille" se disoue petit à petit pour laisser place à plus de d/s. C'est par cela que je dis que la confiance s'établie petit à petit car on se laisse aller de plus en plus à l'autre, j'ose plus avec lui et lui se donne de plus en plus à moi cérébralement. Il est "facile" de posséder l'autre physiquement, un collier et un bondage et basta c'est fait. Cérébralement, l'autre reste libre quoi qu'on fasse, cela doit venir de lui. Bien sur le mâle se rebiffe parfois.

 

Cette confiance nous permet de découvrir petit à petit de nouveaux plaisirs, de nouvelles sensations. Cest grisant d'avancer dans ce monde qu'est la d/s au sein d'un couple car même si l'amour (pour moi) est un peu un frein à la d/s. Cela permet de tisser des liens plus forts, plus intense et surtout une meilleure compréhension de l'autre. La d/s crée un peu une symbiose car un regard lorsqu'on est à  l'extérieur ou un sourire et on se comprend.

Par Lady Ariciaa
Samedi 12 février 6 12 /02 /Fév 16:42

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Cela fait quelques temps que cette nuit me trottait dans l'esprit mais sans oser franchir le ca

 

Il y a trois ans, j'ai découvert cette soirée mais voilà sans plus. Puis l'année d'après, j'ai été fortement tenté d'y aller mais finalement j'ai pas "osé" y aller. Cette année, je m'étais décidé à y aller. De plus, je devais y aller avec un couple d'amis et des amis à eux et rencontrer un couple dont j'avais fait connaissance que j'appréciais sur un forum plus un soumis d'un blog que j'aime lire.

 

Finalement les intempéries ont eu raison du couple d'amis et de ceux qui devait les accompagner. Cependant, j'ai pu rencontrer le couple connu sur un forum. Ce fut une agréable rencontre car un petit couple bdsm sympathique et amoureux. J'ai apprécié d'échanger avec eux, j'ai même essayer pour la première fois de donner des coups de martinet à une soumise. Mais nul doute, je préfère les soumis ;-)

 

Ce qui m'a fait sourire quand je suis arrivé, c'est de voir les personnes en habit de tous les jours à l'entrée. Il y avait une petite mamie avec son chignon, tel qu'on se l'imagine. Cela me faisait sourire car c'était une mamie rien de plus classique et elle attendait à l'entrée de la soirée :-) J'ai aimé dans les vestaires regardaient les gens arrivaient et se changer et ainsi voir la transformation s'opérer. Ce qui m'a fait bizarre c'est qu'on se change au milieu de tout le monde sans aucune intimité. J'ai été habitué quand j'allais en Belgique dans la boite libertine mais cela me fait drôle à chaque fois.

 

Je pense que cette année, il y a dû avoir une baisse de la fréquention dû à la neige car j'ai été étonné de voir des gens avec des costumes en tissu (un napoléon, un haut gradé militaire, une geisha...) et donc ne convenaient pas au dress code (cuir, vinyle, latex). Il y avait de superbes costumes originaux ou fetish. J'ai aimé un couple où la femme était une ponygirl, ce n'était pas ridicule dans sa façon de se mouvoir car elle marchait comme une ponygirl. Sa tenue était belle, un harnais en cuir noir avec un ensemble mord et plume rose qui se dressait sur sa tête tout en trotinant derrière son Maitre. Une Fetish avec un masque comme à venise mais tout noir et en latex ... Il y avait aussi qui ne savaient nullement s'habiller, genre manteau informe gris cendre ou pantalon en simili cuir trop large avec un pull noir et un berêt de papi alors qu'il devait avoir 30/40 ans ... Enfin il y avait de tous. Vous allez dire c'est facile de critiquer, ce n'est pas une critique mais juste une constatation.

 

J'ai aimé aussi regarder les shows (petgirl, défilé Démonia et autres stylistes, zentail, tendance 2011, spetacle d'une fetish ...). J'ai aussi assister à des bondages suspendus c'était joli à voir. J'y ai rencontré aussi doc boot'n feet qui m'a fait de bons massages aux pieds. J'y ai appris le trempling avec lui (juste avec un pied, je ne monte pas les deux pieds sur le soumis) et comment procéder (tétons, sexe, caresses du visage avec mes cuissardes). D'ailleurs, j'ai pu mettre très vite en pratique cela sur un jeune soumis que j'ai connu lors de la soirée. J'ai vu différents bondages qui m'ont donnés des idées, à voir comment je mettrais en place ses nouvelles idées. J'ai eu le plaisir d'utiliser la croix de Saint André avec ce soumis rencontré (mais je ne lui ai pas attaché les mains et pieds car il était novice et ne parlait que peu français donc on se comprenait en mélangant le français, l'allemand et l'anglais et ne voulait pas se faire attacher). Ce fut soft comme moment au vue qu'il était novice et que surtout j'ai mon p'tit soumis d'amour. D'ailleurs, j'ai envie depuis un certain temps d'utiliser la croix avec lui :-)

 

J'ai constaté déjà lors de précédentes soirées où il n'était pas là que dominer des soumis que je ne connaissais pas ne m'apporter plus grand chose. Seul ceux que je connaissais avant lors des soirées et que j'avais dominé dans le passé avec eux c'est dans la continuité donc c'est différent. Même si je ne prends plus autant de plaisirs car je préfère nettement m'occuper de mon homme et de son éducation (il y a encore de quoi faire ;-) )

 

Ce soumis de la soirée Démonia, j'ai accepté de jouer avec lui car il n'a pas été pessant, était bien habillé puis son loup avec ses cheveux blonds qui retombaient dessus lui donnait un certain charme puis je ne vais pas dire le contraire physiquement aussi il était bien batti. Il devait être sportif car il avait de belles fesses fermes et rebondies. Eh oui, j'ai pu le constater lors d'une série de fessée sur la croix. Ce qui m'a fait sourire c'est que malgré qui n'habite pas en France et reparte le lendemain chez lui soit déçu que j'ai un petit ami qui soit aussi mon soumis.

 

La seule chose que je regrette dans cette soirée c'est que l'espace pour la partie domination/soumission était un peu petite au vue du monde et de la demande pour accéder à cet espace. Sinon j'ai bien aimé l'aménagement de la boîte, des différentes salles et son organisation. C'était sympathique mais par contre, heureusement que j'avais connu ce soumis sans quoi je pense que je me serais un peu ennuyé n'ayant pas de matière comme mon soumis n'était pas venu. J'ai discuté aussi avec un photograpge de la nuit qui était jeune et qui était intéressé par ce monde. C'était sa première soirée :-) A mon grand étonnement, les personnes avec qui je discutais me disaient qu'ils avaient peu de Maitresses. J'ai mieux compris pourquoi j'avais été ainsi courtisé. Disons que je pense que ma tenue a aussi jouer ;-) car elle était sexy. C'était une robe noire courte en simili cuir et avec des cuissardes noires et talons aiguilles et de longs gants noirs. Un soumis un peu trop entreprenant à mon goût a été calmé par mes fessées lol ;-) En fait, je regardais le bondage réalisé par le Maitre sur sa soumise avec qui j'étais et il s'est mis à genoux à coté de moi en me disant "je suis à vous Maitresse". Je lui ai répondu que je regardais le bondage et il me répondit qu'il attendrait. Je sentais sa précense et cela m'agaçait quelque peu. Alors au lieu de le congédier et d'avoir le risque qu'll rettente sa chance un peu plus tard. Je lui ai demandé de se mettre nu et sur le banc à fessée et je lui ai donné un sacré nombre de paires de fessées sacrément dosé. Lorsque j'ai senti mes mains bien chaudes, je lui ai dit "au fait, si j'y vais trop fort ou que tu veux arrêter, tu me le dis". Il me répondit "Je crois que ça suffit Maitresse". Il se rhabilla de suite lol et j'ai exigé qu'il embrasse mes cuissardes pour me remercier du temps accorder lol. Je l'ai recroissé lors de la soirée mais il ne m'a plus accosté lol.

 

Il y a en un qui m'avait accosté mais je n'aimais pas sa tenue qui faisait "voleur". Il avait un pantalon noir en cuir avec un long t-shirt en tissu noir et une sorte de gagoule en laine noire sur la tête avec des trous fait un peu "à l'arrache" au niveau des yeux. et de la bouche C'était bizarre de le croiser. Un moment, un soumis m'a fait sourire car il est devenu quelque part "mon garde personnel". Je m'étais installé à un endroit pour jouer avec le jeune soumis pour mettre en place ce que je venais tout juste d'apprendre (le trempling). Des pseudos soumis ou plutôt des curieux voir des morts de faim étaient venus s'asseoir à coté nous et me toucher avec leurs mains ou le soumis avec leurs pieds. Je les envoyais ballader sauf un qui a été tenace et le jeune soumis a dû se reveler et se fâcher un peu pour qu'il s'exclipse enfin. Puis un homme s'est mis à faire dégueppir ce qui se mettaient à coté de nous, c'était bien pratique ainsi je n'étais pas interrompu. Quand nous sommes partis de cet endroit, il m'a dit "vous avez vu je me suis occupé de les faire partir". Je l'ai remercié et je suis partie. Je n'avais rien demandé même si ce fut bien pratique d'avoir en quelque sorte un garde personnel qui me permettait de m'amuser sans être déranger.

 

Plus j'avance dans le temps et plus je regrette de ne pas être avec mon soumis lorsque je suis en soirée car c'est plus amusant avec la personne qu'on aime. Il avait de tous dans cette soirée des personnes très bien déguisées, d'autres moins, des petgirls, des ponyboys et girls, des zentails, des Dominants et Maitresses, des fetish latex, des soumis/soumises en collier et laisse tenu(e)s par leur Domina(nt)s....

 

Je ne regrette pas ma précense dans cette soirée. De plus, je peux mettre un visage sur un blog que j'aime lire et de même pour le couple du forum :-)

 

paris

Par Lady Ariciaa
Samedi 11 décembre 6 11 /12 /Déc 14:30

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Il y a quasiment trois ans, je me demandais si une relation d/s et vanille était vraiment possible dans la réalité de tous les jours pour un couple.
 
Il est vrai qu'il est difficile de concevoir une relation d/s de couple, surtout qaund j'étais à mes débuts. C'est là que ma pensée c'est trouvé conforté car plus tu es jeune et plus c'est dur de trouver sa perle dans le monde bdsm et encore plus quand tu es un homme.
 
J'avais le choix d'âge, de région, de pays lol concernant les soumis. Pour une femme, il y a plus que le choix et plus jeune elle est et plus elle est courtisée. En réfléchissant, je reste sur mon avis.

 

Ce qui m'a séduit chez mon homme c'est son naturel et le fait qu'on avait pu parler de tous lors de nos discussions sur internet. Puis surtout il ne se ventait pas de ce qu'il pouvait m'apporter, c'est ce qui avait le plus le don de m'agacer quand un soumis m'en faisait la liste. J'avais l'impression que l'autre se vendait tel un produit avec ses multiples fonctions. J'ai eu le droit de savoir dès le départ  leurs professions, si ils possédaient une maison, voir même parfois la marque de leurs voitures... Ca me faisait rire mais jaune. J'avais l'impression qu'on voulait m'acheter. Lors de mes rencontres avec mes soumis, je n'ai jamais voulu qu'ils m'amènent quoi que ce soit pour ne pas avoir cette sensation d'être acheté. J'ai su ce que faisait mon p'tit virus comme métier quand je lui ai demandé. 
 
Il est vrai que j'ai eu de la chance, j'ai trouvé mon soumis seulement un an après mon entrée dans ce monde. Je n'ai pas eu à chercher longtemps, en plus je ne cherchais pas. J'aime à dire qu'il m'est tombé dessus. Le feeling est très vite passé. Je suis heureuse qu'il est croisé mon chemin car maintenant nous sommes sur la même route main dans la main.
 
Je conçois que la recherche n'est pas facile pour les hommes mais je me répète encore, soyez naturel, soyez vous même, ne jouez pas un personnage. Le naturel revient toujours au galop comme dit une expression.
 
C'est là aussi que je réalise la chance de vivre une telle relation avec une personne que j'aime et qui m'aime. On avance et s'épanouie autant en vanille qu'en d/s.
 
Ca fait un peu plus de deux ans et demi que je suis avec et je n'ai pas vu le temps passe. C'est bon signe dit-on.

 

amour coeur

Par Lady Ariciaa
Samedi 4 décembre 6 04 /12 /Déc 17:43

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Pourquoi lui ? Qu’est ce qui fait que c’est notre perle ?

 

Lors de nos rencontres, il est difficile de trouver une personne libre, qui a la même conception que nous de la vie en vanille et en d/s, qui est envie de vivre cela en couple …

 

Dans nos rencontres, un ne sera pas libre, un autre ne se voit pas en couple avec nous car ne voit en nous que notre partie caché, la face Domina et non celle de femme, des indécis …

 

Puis miracle dans cette botte de foin, nous prouvons enfin notre aiguille. Disponible, ayant la même vision que nous en vanille, en d/s et en couple, ayant quelque chose dans le ciboulot … Les fantômes continuent à être présents mais la plupart s’estompent par cette rencontre, cette rencontre où nos envies s’emboitent.

 

Une fois rencontrée cette belle plante, il faut l’entretenir sinon elle dépérit.  Il faut savoir avancer, communiquer, prendre en compte aussi les envies de soumis et les mêler aux nôtres parfois. Si vous ou lui regarde ailleurs, ce n’est pas forcément de votre faute. Il faut juste creuser et voir pourquoi. Est-ce qu’il manque quelque chose dans le couple ou est ce un désir antérieur au couple ? Dans le premier cas, vous pouvez remédier à cela par de la communication et de l’échange. Dans le second cas, je pense que comme cela n’a rien avoir avec vous et votre couple. Il faut juste l’accepter et prendre soin et encore plus prêter attention à votre partenaire. Eh oui, jamais rien définitif, ni acquis. C’est une perpétuelle séduction.

Eh oui, chez les couples bdsm il y a aussi des tromperies. Comme en vanille, quand il manque quelque chose ou qu’un désir n’a pas été assouvi avant le couple il reste présent.

 

Quand on pense trouver la perle rare, il faut comme tout bien précieux garder les yeux dessus. Comme on dit l’herbe est toujours plus verte chez le voisin (jusqu’à ce qu’on apprenne que c’est de l’herbe synthétique ;-) )

Par Lady Ariciaa
Samedi 4 décembre 6 04 /12 /Déc 15:53

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En discutant avec des ami(e)s, je réalise que finalement quelque part le couple vanille est assez fade. La seule fois où mon couple a duré, ce fut avec un jeune homme de caractère. Nos esprits et nos caractères respectifs produisaient des étincelles. De ce fait, la routine ne pouvait s'immiscer. La jeunesse fit qu'on n'a pas su appréhender les difficultés qui se sont présentés à nous. Il avait des soucis familiaux et de santé et c'était refermeé De ce fait, je pensais qu'il ne m'aimait plus. Je n'arrivais pas à comprendre pourquoi il s'était ainsi renfermé, je m'étais éloigné et il n'avait rien fait pour corriger le tir. Je n'ai su qu'après notre séparation ces soucis.

Je pense qu'en vanille si on fait des efforts, on maintient le couple par des petites attentions même si le désir sexuel s'émousse. Car on dit que cet amour passion devient avec le temps un amour tendresse donc en autre terme "amical".

En d/s, cette alternance entre d/s et vanille permet de garder cette envie de l'autre présente, je pense. On ne peut faire le tour de ce monde, il y a toujours des choses à découvrir, à faire, à expérimenter...

En discutant avec mes collègues de boulot, pour certaines leur couple est devenu un peu comme un boulet au pied auquel elles se font fait au vue de la façon dont elles en parlent. Alors que quand je discutais avec mes consoeurs Dominas, elles ne voient pas le temps filé tout comme moi que ca fasse 2 ans, 7 ans ou 15 ans qu'ils sont ensemble.

Personnellement, je ne me suis jamais autant ouverte et laisser aller que dans cette relation avec mon soumis d'amour. Je peux être moi même et c'est quelque chose qu'on ne peut être en vanille car on tâte et on cherche ses marques avec l'autre. Alors que là c'est défini, on n'a pas cette phase où on teste l'autre.

Petit à petit, j'ose plus de choses. Des choses que je ne pensais pas faire ou du moins pas avec mon soumis. Nous continuons à découvrir ce monde et aussi às e découvrir. Parfois j'ai l'impression de stagner mais je me dis que j'ai tout mon temps pour évoluer. Je dis toujours rien de tel que de prendre son temps et d'y aller à son rythme.

J'ai des envies mais qui sont pas formalisé dans ma tête. C'est sur le moment que cela se concrétise. Je n'aime pas prévoir, scénariser, théâtraliser les choses, la séance... Rien de tel que le naturel et de laisser libre à mon imagination et envies.

Par Lady Ariciaa
Mardi 23 novembre 2 23 /11 /Nov 21:48

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Messieurs réalisaient bien que la d/s ne peut se vivre à chaque minute  de votre vie. Ceci est un fantasme, une envie, un désir peut être mais qui en restera un.
 
Lorsque vous êtes fatigue de retour du boulot après une longue  journée qui a été exceptionnellement dévoreuse d'énergie, vous  voyez vous plier aux exigence et demandes de votre compagne Domina ? Ou alors vous êtes malade et donc affaibli par cela et malgré tout  vous ne pouvez vous poser car vous devez réaliser les demandes de  Madame. Réfléchissez la d/s à tout heure du jour et de la nuit, ce  n'est pas seulement quand vous en avez envie et que tout va bien.  C'est surtout quand Elle, elle en a envie que vous soyez malade ou  fatigu ou autres.
 
La vie fait que la d/s peut être fortement présente mais la vanille a  aussi sa place.
 
Nous sommes un couple d/s, oui mais aussi une Femme et un homme. Quand  il est fatigué ou malade, je mets mes envies de coté et même si il  accède à mes demandes, je m'arrête car il n'est pas dans son état  normal et donc il n'y a pas ce feed back si important à mon sens.
 
C'est un moment qui se doit être d'échange et de plaisir. Si l'autre  n'y est qu'a moitié, je préfère arrêter pour le reporter à un autre  moment.
 
Sincèrement je pense que les couples dans le bdsm qui durent sont tout  comme dans un couple vanille fait d'attention, de compréhension,  d'échange et de communication. La communication est plus que  nécessaire surtout dans un couple D/s, je dirais.
 
Pour que le chocolat se mélange bien à la vanille, c'est un savant mélange fait d'attention, de moments complices, d'échanges, de  partages et de communication. Car il ne faut pas oublier que le soumis  est avant tout un homme tout comme nous, nous sommes des femmes.
 
Il ne faut pas penser qu'avec le bas, ce n'est pas ainsi que ça marche  messieurs !  Entre réalité et fantasme, il y a bien souvent un gouffre !

Par Lady Ariciaa
Lundi 4 octobre 1 04 /10 /Oct 20:56

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Voici un échange de commentaires et le dernier m'a bien fait sourire d'où l'envie de le faire partager avec vous suite à l'article "code social et symbolisme".

 

Je ne cache en rien que je n'aime pas la féminisation dans mes articles car pour moi cela perd de son plaisir car j'aime dominer l'homme, dominer le "mâle" en lui et non une poupée. J'ai fini depuis longtemps de jouer avec des barbies ou plutôt des kens ;-) 

 

jeuxdenfants-copie-1.jpg

 

Quoi que ;-)

 

Commentaire du soumis :

 

"Pour un homme, être dominé, c'est en partie être délivré de l'unifome "macho" (costume-cravate ou jean-chemise) pour être revêtu de vêtements féminins qui le font basculer dans une autre dimension. C'est à la femme qui le domine d'être à l'écoute de ce désir (ce qui n'enlève rien à la masculinité de son soumis, bien au contraire !) "

 

Ma réponse :

 

"Revêtu de vêtements féminins ? Je n'aime pas du tout le travestissement, je trouve que la domination perd son plaisir. Je ne domine plus un homme, un mâle mais un truc avec des habits de femme et qui de ce fait ne ressemble à rien.

 

  Je n'ai rien contre ceux qui aime cela, juste moi je n'y éprouve aucuns plaisirs.

 

Me concernant les habits féminins sur un homme enlèvent de suite sa masculinité et donc mon envie de le dominer."

 

Réponse du soumis :

 

" Je crains alors que tu ne sois pas une vraie dominatrice ! Car qui dit domination dit féminisation."

 

Par Lady Ariciaa
Samedi 25 septembre 6 25 /09 /Sep 09:03

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Ce mot est primordial en d/s. Si on a pas confiance dans l'un l'autre déjà on peut s'arrêter la. Vous allez me dire un homme face a une femme ou est la crainte. Tout simplement une fois attache la force de l'homme devient inutile car si on sait faire de bons nœuds il aura beau se debattre, il sera livré au bon vouloir de la Dame. Donc la confiance est primordiale. Bien entendu en tant que femme c'est plus qu'evident car face a un homme on ne pèse pas lourd si il décide d'un moment a l'autre ne plus n'être soumis.

Chaque fois que j'ai rencontre quelqu'un, j'ai toujours pris le temps de le connaitre et d'essayer de le cerner. Le temps passant met a jour les fantasmeurs, les menteurs (j'ai de la mémoire), les pas sérieux, les plans cu... Je n'ai jamais rencontre avant souvent sans quelques mois d'échange.

Vous allez me dire que celui qui craint le plus c'est celui qui remet son corps dans les mains de l'autre. Oui bien entendu mais si l'homme décide de bloquer soudainement la femme, on ne peut rien faire. C'est pour cela que je conseille toujours de ne pas se jetter au pied de la première venue tout comme nous même si nous avons beaucoup plus le choix.

Il y a des mots qui sont indisociables pour moi tel que respect, communication et bien entendu confiance que ça soit en d/s comme en vanille.

Par Lady Ariciaa
Lundi 2 août 1 02 /08 /Août 21:21

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J'ai eu une discussion avec deux collègues féminines et un collègue masculin.

J'avais fait un dossier sur la femme de l'an 2000 pendant mes études. Le schéma de nos grand parents voir celui de nos parents n'est plus d'actualité car quelque part aujourd'hui la femme n'a plus besoin de l'homme. Elle est une femme "libre" s'assumant via le travail, via ses conquêtes amoureuses ...

 

J'avais lu un livre qui m'avait fait bondir pour mes études. C'est un auteur qu'on aime ou pas. Me concenant, je ne peux le supporter, il m'agace au plus haut point. C'est éric zemmour, son livre c'est "le premier sexe". Pour lui, les hommes ont perdus leurs repères dans la société de maintenant et se sont trop "femininés". Pour lui, il est loin le temps des "vrais hommes". Ces propos sont excessifs, enfin basta !

 

 Voici un article de l'express  sur ce livre pour ceux que cela intéresse : link

 

D'ailleurs les divorces n'ont jamais autant flambés car ce n'est plus un considèré comme un deshonneur. C'est rentré quelque part dans les normes avec les mères célibataires, les familles recomposees...

Les hommes en perdent leurs repères et ce collègue a finalement avoué que effectivement le rôle de l'homme a changé et qu'il n'a pas été redéfini. Cela reste flou, vague. C'est un peu comme si en ayant eu notre liberté de vivre on leurs a fait perdre leurs repères. Du coup, ce collègue ne veut pas s'engager car il a la peur de la souffrance d'une rupture. Je peux comprendre cependant ce sont les déceptions qui nous font apprendre et grandir.

Maintenant quand on est avec un homme c'est librement consentie ( je ne parle pas des exceptions ou des traditions qui font qu'on impose). Quand on ne l'aime plus ou que ça ne marche plus trop on va voir ailleurs. C'est le comportement des femmes de l'an 2000 (et des hommes mais rien de nouveau de ce coté)

Je me rapelle un ex m'avait dit que les hommes n'étaient pas des klenex. Pourtant l'autre maintenant c'est ça car avec Internet qui permet de faire de l'adultère en toute impunité et les sociétés qui proposent des alibis quand vous trompaient votre conjoint. Mais où va t on ?

L'amour n'est parait il qu'une histoire de phérenomes qui agissent et qui au fur et à mesure du temps se transforme en une amitié amoureuse car l'amour ne dure qu'au départ. Peut être mais la d/s permet de faire durer et de renforcer l'amour pour pas qu'il aille vers l'amitié amoureuse trop rapidement.

Bien entendu je ne dis pas que nous avons plus besoin de vous. Bien au contraire, en dehors de l'amour ça n'a pas changé. On a toujours besoin de vous. Comme je dis pour taquiner "les hommes ça peut parfois servir" ;-) et la bizarrement vous appréciez pas toujours ma petite joke ;-)

Par Lady Ariciaa
Mercredi 21 juillet 3 21 /07 /Juil 22:09

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Voici un article très intéressant, je trouve

  

" La soumission au masculin 

 

 

C’est un chef de guerre, un résistant, un homme un vrai. Deux soldats le transportent partout à bout de bras, debout sur son bouclier gaulois. Entouré de ses virils guerriers, il tient tête à l’armée la plus puissante au monde, celle de César. Mais quand, rouleau à pâtisserie à la main, sa femme Bonemine déboule sur la place du village et exige qu’il lui « prête » ses porteurs le temps d’aller faire ses courses, Abraracourcix se fait tout petit et obtempère sans moufter. En lisant les albums d’Astérix, nous sourions irrésistiblement au jeu d’inversion des rôles suggéré par Uderzo et Goscinny. Car nous connaissons tous quelques uns de ces couples au sein desquels la femme fait visiblement la loi. Madame porte la culotte, comme on dit. Madame ou le souvenir nostalgique de maman… Mais l’inversion des rôles n’est pas seulement un ressort comique, ou encore une façon comme une autre de vivre à deux. Utilisée à bon escient, elle peut également devenir un aphrodisiaque puissant. L’homme serait-il un soumis qui s’ignore ? Et nous les femmes, des dominatrices en puissance ?

L’envie masculine de soumission

Bien qu’on imagine plus volontiers une femme qu’un homme soumis, le masochisme est une « création » masculine. Son nom est d’ailleurs emprunté à celui de Léopold Sacher-Masoch, écrivain et journaliste autrichien du XIXème siècle dont La Vénus à la fourrure, parue en 1870, fut la première œuvre littéraire entièrement consacrée à la question. Mais le précurseur officiel, le tout premier écrivain à avoir osé décrire le plaisir qu’il trouvait dans sa soumission à une femme fut… Jean-Jacques Rousseau ! « Être aux genoux d’une maîtresse impérieuse, obéir à ses ordres, avoir des pardons à lui demander, étaient pour moi de très douces jouissances », avoue-t-il dans le Livre premier de ses Confessions. Comme on l’imagine, ce penchant trouve sa source dans un épisode de l’enfance. Rousseau raconte ainsi comment il fut bouleversé par la correction reçue de la main (et la férule) de son éducatrice d’alors, Mademoiselle Lambercier. « J’avais trouvé dans la douleur, dans la honte même, un mélange de sensualité qui m’avait laissé plus de désir que de crainte (…). Ce châtiment d’enfant, reçu à huit ans par la main d’une fille de trente, a décidé de mes goûts, de mes désirs, de mes passions pour le reste de ma vie, et cela précisément dans le sens contraire à ce qui devait s’ensuivre naturellement ».

 

Comme en témoignent les offres abondantes de produits ou services sexuels à destination des hommes soumis, Rousseau et Sacher-Masoch ne sont pas des exceptions. Les hommes qui apprécient de marcher à quatre pattes, tenus en laisse par une maîtresse inflexible dont ils seront peut-être autorisés, plus tard, s’ils sont sages, à lécher les talons aiguilles, sont en réalité plus nombreux qu’on le pense. Mais la chose est presque impossible à dire. Ayant avoué le plaisir trouvé sous la férule, Rousseau conclut fièrement : « J’ai fait le premier pas et le plus pénible dans le labyrinthe obscur et fangeux de mes confessions… Dès à présent je suis sûr de moi : après ce que je viens d’oser dire, rien ne peut plus m’arrêter ».

Une pratique difficile à assumer

Le concept de l’homme esclave brise en effet plus d’un tabou. Aux « contradictions » inhérentes au SM – le plaisir dans la douleur, l’humiliation, la dépossession de soi – vient s’ajouter ici un impératif incontournable de notre ordre social, selon lequel l’homme serait un dominateur inné. Nos oreilles sont si rebattues du cliché du mâle dominant que l’idée même d’un homme soumis semble tout à fait incongrue. Mais comme l’enseigne Bourdieu, le schéma de domination masculine, profondément ancré dans nos mentalités et nos structures sociales, ne reflète pas une réalité objective. Handicapant pour les femmes, ce schéma de domination est souvent lourd à porter pour les hommes. Il requiert une surveillance de chaque instant : « Comme les dispositions à la soumission, celles qui portent à revendiquer et à exercer la domination ne sont pas inscrites dans une nature et elles doivent être construites par un long travail de socialisation » indique le sociologue. D’où le devoir, pour chaque homme, « d’affirmer en toute circonstance sa virilité ». En d’autres termes, tous les hommes n’ont pas l’étoffe du dominateur, mais tous sont tenus de jouer le jeu. Et s’il est difficile pour une femme d’assumer le plaisir qu’elle peut trouver à se faire flageller, pour un homme ce même aveu relève quasiment du suicide social. Mettant en question l’un des principes fondamentaux sur lesquels repose notre société, l’homme qui se proclame soumis est presque un ennemi public.

 

Autant dire que Frank, le seul homme à avoir accepté de témoigner dans le cadre de cette enquête, fait figure d’ovni. Cet homme de 35 ans parle de sa sexualité avec une liberté et une sérénité d’esprit assez étonnantes. Mais ce qui surprend le plus, c’est que cette attitude semble être payante. Comme Rousseau, Frank est un homme que désormais rien ne semble plus pouvoir arrêter. Pas la peur de l’exclusion ou de l’opprobre sociale, en tout cas. Au contraire, parler librement de son goût pour la soumission est comme il le dit lui-même un « excellent filtre à connards ». Non qu’il pense que tout le monde devrait se mette au SM. Simplement, Frank sait qu’il n’a pas grand-chose à partager avec ceux et celles qui, par crainte, dégout ou déni, s’arrêtent net à l’évocation d’un fouet ou d’un ensemble en latex. D’accord. Mais justement, Frank, qui sont ces femmes qui tiennent la laisse ou le fouet ?

Les femmes dominatrices

Bien entendu, on trouve des maîtresses professionnelles, mais Frank leur préfère les femmes qui pratiquent en amateur. Comme nombre de masochistes, il tire sa propre jouissance du spectacle et du plaisir qu’il offre à l’autre. Les rapports tarifés ne l’intéressent pas. Les dominatrices sont-elles faciles à trouver ? Y a-t-il un truc qui permette de les identifier ? Frank soupire que non, malheureusement. Du moins, pas toujours. En dix ans de pratique il a connu beaucoup d’aventures ternes, vulgaires ou décevantes. Dommage qu’il ne connaisse pas Héléna.

 

Héléna est une personne qu’on remarque immédiatement. Grande, élégante, sexy, cette femme de 45 ans correspond assez bien à l’idée qu’on se fait d’une dominatrice. Et pourtant, Héléna a d’abord été soumise. Ha bon ? Parce qu’on peut changer de bord ? Évidemment répond-elle. Sans être systématique, la chose est assez fréquente : « Quand on a associé le plaisir à la douleur, tout est possible. Endurer, faire endurer, ou passer de l’un à l’autre. D’ailleurs, tous les soumis vous le diront : les meilleures maîtresses sont celles qui ont d’abord été des esclaves. Quand on a connu les attentes inquiètes, les douleurs exquises, l’abandon total de soi, on sait précisément ce qu’on inflige à l’autre, on lui fait prendre un sacré pied ». Mais alors, qu’est-ce qui l’a décidée à dominer à son tour ? « J’ai eu le déclic au cours d’une soirée privée, en regardant une pseudo-maîtresse s’y prendre comme un manche avec une fille qui m’excitait beaucoup. Je les regardais toutes les deux et j’étais très frustrée devant tout ce potentiel gâché… C’est là que j’ai compris quelle était ma vraie place ». « Vraie place » ? Parce qu’elle n’envisagerait pas de se soumettre à nouveau ? « Certainement pas ! Comme je le disais, dans ma tête le plaisir et la douleur sont inextricablement liés. J’ai goûté à tout. Mais ce qui m’excite maintenant, c’est regarder l’autre. Être la source unique de son plaisir et surtout tenir son orgasme dans ma main : l’interdire, le retarder, l’autoriser ».

 

Comme chez Frank, comme chez les personnes interrogées dans le cadre de l’enquête sur la soumission au féminin, on perçoit une fierté certaine dans la voix et l’attitude d’Héléna. Une fierté qui semble moins tenir à la pratique elle-même qu’à l’audace d’en parler. Avoir transgressé des interdits et surtout oser le dire semblent avoir un effet férocement libérateur. Presque glorieux. Rousseau, Frank, Héléna, tous font l’effet de petits Prométhée, qui auraient réussi à dérober le feu aux dieux pour le ramener chez eux. Chez eux ? Mais chez soi justement, ce feu, qu’en fait-on ? Le SM peut-il trouver sa place dans une relation de couple ? Selon le cliché de la psychologie de comptoir, nous serions tous plus ou moins sadomasos. Mais à écouter Héléna, on comprend bien que les plaisirs de la domination ne sont pas susceptibles d’exciter tout le monde. Et les hommes masochistes, on l’a vu, se présentent rarement comme tels. Une femme non initiée aux vertiges du sadomasochisme peut-elle s’épanouir auprès d’un homme soumis ?

Amour et soumission peuvent-ils faire bon ménage ?

S’il a été difficile, dans le cadre de l’enquête, de recueillir le témoignage d’hommes soumis, un nombre assez étonnant de femmes est venu raconter l’expérience qu’elles avaient vécu avec eux. Alexandra a 28 ans. En dépit de son jeune âge, elle semble totalement épuisée. Nerveusement et physiquement à bout. Elle a rencontré Philippe dans une soirée. Un homme séduisant, distingué, qui semblait avoir beaucoup de succès auprès des femmes et aussi dans son métier. « Il était tout ce dont je pouvais rêver. Ses manières me plaisaient. Les fleurs, les cadeaux, les surprises, les compliments… J’ai eu droit au « grand jeu », et je suis vite tombée amoureuse. Je lui ai présenté mon frère, mes amis. Tout le monde le trouvait génial. Sauf ses quelques copines qui trouvaient louche qu’à presque quarante ans, cet homme soit toujours célibataire. Moi je suis une optimiste de nature, je ne me suis pas méfiée. En fait, je n’aurais jamais imaginé. Au début de notre histoire, il n’était pas du tout question de ce genre de choses ». Les « choses » ont démarré gentiment. Une claque sur les fesses. Un ordre donné. « J’avoue qu’au début j’ai trouvé ça excitant. Très excitant, même. Pour moi c’était nouveau, surprenant, interdit, grisant. Enfin, tout ça c’était au début, avant qu’il ne sorte son matériel et ses requêtes vraiment spéciales ». Requêtes spéciales ? Philippe veut se remettre corps et âme à la femme de son cœur. Prendre un RTT et rester attaché au radiateur une journée entière tandis qu’Alexandra se rend au travail. A son retour, demander humblement la permission pour boire un verre d’eau ou simplement uriner. « C’est déjà assez fatiguant de trouver des jeux érotiques de nature à l’exciter continuellement. Dominer requiert une inventivité et une énergie considérable. Le vrai problème, c’est que le rapport de domination ne se limite pas à notre relation sexuelle. Ou alors, c’est le sexe qui envahit toute notre vie… Les frontières sont difficiles à établir ». Alexandra est supposée dominer Philippe. Mais après une année de pratique SM intensive, elle a surtout l’impression d’avoir été prise au piège. Dans son esprit la confusion est totale. « Ce qui est sûr, c’est que je suis amoureuse d’un homme qui a besoin de souffrir et d’être humilié pour prendre son pied. J’aimerais l’aider, mais les discussions sérieuses sont impossibles. Il se bute ou me demande pardon à genoux, et c’est reparti pour un tour… Plus le temps passe et plus je me sens déchirée par ce qu’il attend de moi. Je ne suis pas celle qu’il voudrait que je sois. A l’amusement et l’excitation des premiers temps ont succédé une nausée perpétuelle et une furieuse envie de me laver… Malgré tout cet homme me touche, je me dis qu’il a dû énormément souffrir, pour en arriver là. Mais cette pitié-même me piège. J’ai peur d’accentuer encore son problème et son dégoût de lui-même en le quittant ». Le récit d’Alexandra est poignant. Les femmes ayant connu des histoires semblables décrivent toutes la même impasse finale. Si tous les hommes ne sont pas prêts à endosser le rôle de mâle dominant, à l’évidence toutes les femmes n’ont pas non plus envie de prendre la relève.

 

Alors, faut-il rêver d’un monde où hommes et femmes seraient enfin parvenus à séparer radicalement le sexe et le pouvoir ? Ici comme ailleurs, tout est probablement affaire de juste mesure. Un beau défi pour les générations à venir…

Caroline Colberti "

 

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Par Lady Ariciaa
Vendredi 18 juin 5 18 /06 /Juin 21:27

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