Voici un lien vers un écrit de plusieurs pages et qui est fort intéressant à lire sur des réflexions (personnelles) sur les tendances sm.
Je vous le conseille car je me suis parfois retrouvé dans ce qu'il dit même si je ne suis parfois pas tout à fait en accord avec ce qu'il a écrit mais en grande majorité je le suis.
Bonne lecture
La soumission en y réfléchissant, quel drôle d’idée. L’être humain et sa complexité.
L’être humain aime le pouvoir mais il y a aussi cette attrait de se laisser aller à quelqu’un. D’être en quelque sorte plus aux commandes de son corps, de ne plus s’appartenir, de ne plus se
posséder, d’être en fait déposséder de son corps par une autre personne.
Le collier qui est si cher au monde bdsm qui est qui le signe de la soumission. C’est en fait l’asservissement de l’animal à l’être humain. On rabaisse le soumis / soumise à l’état de bestialité, animalité. Certains disent d’ailleurs de leurs soumis / soumises c’est leurs chiens / chiennes. Je ne peux dire cela car cela ne dénote pas du respect. Eh oui, j’ai du respect envers mes soumis et donc je ne pourrais jamais dire de mon soumis que c’est mon chien. Même si je lui ai offert un collier mais un collier « sm » en cuir et métal et grosse boucle. Il est vrai que cela reste "animal " et j’aime dire qu'"à ce moment mon homme se transforme en mon "mâle". Il est vrai que tous comme les chiens, il y a son nom gravé sur son collier. Je ne cache pas non plus que j’aime lui mettre son collier et ainsi parfois le tenir en laisse.
Il est vrai que c’est très excitant et jouissif d’avoir ainsi cette puissance et ce pouvoir sur l’autre qui est notre petit ami et qui en tant que soumis nous appartient corps et âme.
Il m’avait dit qu’il avait essayé de faire un peu de cela avec une ex vanille et cela s’est soldé par un échec. Je la comprends en quelque sorte. Je pense que la soumission est quelque chose de tabou car cela instaure un pouvoir et une relation ainsi que des pratiques qui dépassent les « vanilles » surtout concernant je pense la soumission masculine. Les femmes ont les dit victimes de l’influence masculine mais un homme c’est différent. Car cela chamboule les rôles pré-établis de la société, les rôles sont inversés. Pour un homme c’est voulu et donc cela dépense l’entendement pour beaucoup de non initiés même si pour les femmes c'est aussi voulu mais disons qu'une femme ne peut obliger un homme alors que inversement c'est possible.
Il est vrai que cela ne m’était jamais passé par la tête, ces rôles de domination / soumission même si c’était je pense en moi lorsque j'étais encore une vanille. Mais cela était bien enfoui, au plus profond de moi, bien tapi dans l’ombre attendant le moment propice pour sortir et se révéler. Même si je cherche plus vraiment à comprendre cette attirance de la soumission par les hommes, je me demande quand même par quel cheminement on peut arriver à vouloir ainsi laisser son corps au volonté du sexe opposé. Car certaines positions sont avilissantes comme la position à quatre pattes lorsqu’on s’occupe des fesses de l’autre ou encore d’être à genoux face à l’autre et ne pouvoir le regarder dans les yeux… Je comprends que cela excite mais après les mécanismes humains sont un vrai mystère.
J’aime mettre le collier à mon soumis, cette possibilité de faire ce que je veux de lui, de lui mettre un bâillon pour mon plaisir, pour une raison x ou pour le faire taire ou même de le faire taire tout simplement sans artifice. J’aime pouvoir ainsi jouer avec lui et l’exciter comme bon me semble et lui donner ou pas du plaisir suite à ce moment d/s. J’aime pouvoir lui donner des coups de cravache juste parce que j’ai envie et que je l’ai décidé sans raison particulière.
J’aime le fait qu’il devient en quelque sorte mon jouet vivant, rien ne vaut un jouet humain (consentent bien entendu).
Maintenant cela fait la moitié d'une année que je suis avec mon p'tit virus
:-)
Texte tiré d'un forum bdsm "ledojo.ca" :
"Je vous livre ici un petit texte de conclusion générale d'une étude des chercheurs de l'Université de la Santé Publique de Nouvelle Galles du Sud (Australie) menée auprès de plus de 20000
personnes, conduite par Juliet Richters et publiée dans le « Journal of Sexual Medicine » en Août 2008.
L'étude portait sur le "sexe insolite". Elle conclu que ceux qui éprouvent du plaisir dans les pratiques de bondage et de discipline ne sont ni déviants ni dangereux, ils pourraient même
être plus heureux que ceux qui ont des rapports sexuels « normaux ».
Elle indique que 2% d’adultes australiens prennent part à des jeux sexuels liés au sadomasochisme, à la domination ou la soumission. Je pense quant à moi que ce faible pourcentage ne représente
que le nombre de ceux qui osent le déclarer. D'où certains doutes sur la méthodologie employée car ces chiffres sont sans rapport avec ceux publiés en Amerique du Nord ou en Europe.
Et contrairement aux stéréotypes connus à leur sujet, ils ne le font pas par réaction à des abus et des maltraitances subis dans le passé ou parce qu'ils ont, d’une façon ou d’une autre, des
problèmes sexuels.
Les résultats confirment que le bondage, la discipline et le sadomasochisme representent tout simplement un intérêt sexuel ou une culture minoritaire. Selon l'enquête, les pratiquants BDSM sont
plus fréquents chez les gays, lesbiennes et bisexuels mais tend à s'élargir de plus en plus auprès des couples traditionnels, et ces participants ont plus de probabilités d'avoir une vie sexuelle
variée et ciblée aussi sur d’autres centres d’attraction.
Ils n’ont pas plus tendance que le reste de la population à être (ou à avoir été) contraints à des rapports sexuels et n'ont pas davantage de prédispositions à être anxieux ou malheureux. En
fait, ces gens se montrent plutôt plus heureux, vu qu’ils atteignent significativement des taux de symptômes dépressifs ou la détresse psychologique plus bas que le reste de la population.
Les chercheurs n’en ont pas étudié les raisons, mais leur hypothèse est que ces pratiquants BDSM sont plus en paix avec eux-mêmes parce qu'ils parviennent à dépasser le conformisme pour réaliser
quelque chose d'inhabituel et qu’ils y trouvent leur harmonie.
Juliet Richters souligne que ces résultats contredisent l'opinion prépondérante sur les pratiquants BDSM. « Ces personnes ont été longtemps considérées par la médecine et le droit comme des
malades ayant besoin d’une thérapie, alors qu’elles ne présentent aucun danger et n’ont pas besoin de restrictions juridiques », écrit-elle, en ajoutant espérer que l'étude faite dans son
Université contribuera à changer ces stéréotypes.
Le caractère synthétique de cet article, la rédaction sommaire et le manque de démonstration méthodologique, ne sont pas de nature à nous permettre de croire absolument à un certain nombre de
points. Convenons au moins que nous pouvons nous réjouir de ce type de publication."
Mon nouvel achat va beaucoup vous étonné ;-)
Maintenant cela va faire un an et demi que je suis dans ce monde. En un an et demi, j'en ai découvert apprises des choses. Pourtant un an et demi c'est peu.
J'ai eu une quinzaine de soumis, été à cinq soirées privées en Belgique chez la même Domina, une soirée privée chez une Domina à Paris, une boîte sm parisienne, une
après midi sm à Paris, une rencontre à Paris entre Dominas d'un cercle dont je fais partie, j'ai rencontré plusieurs soumis de tous âges. J'ai découvert les clubs libertins belges (mais je n'y
vais pas pour coucher mais pour l'ambiance car là bas les femmes sont reines et je peux m'habiller sexy et danser comme bon me semblent sans me sentir vulgaire ou "pute".
J'ai aussi découvert diverses pratiques et apprises diverses choses. J'ai découvert le bondage, la cire, la chambrière, la cravache, le fouet, la cage, le trempling, la torture des tétons ou des
testicules, les pinces, les aiguilles...
Puis maintenant j'ai depuis quasiment six mois, mon p'tit virus à moi et c'est encore une facette de ce monde que je découvre. C'est tellement plus agréable d'avoir son soumis que d'avoir une
pluralité de soumis. Il est vrai que cela peut être plaisant, je ne le cache pas. J'ai eu mon "harem", enfin je n'aime pas ce mot. mais j'ai eu plusieurs soumis dont je m'occupais en même temps.
C'est bien, je ne dis pas le contraire mais un temps seulement
Donc pour en revenir à nos moutons, j'ai acheté un bâillon mentonnière. J'ai eu en cadeau avec un autre bâillon mais avec une boule qui rentre entièrement dans la bouche. Ca fait que la
boule disparait car le soumis peut refermer la bouche et là il est réellement bâillonné au sens du terme "bâillon". "Bande d'étoffe qu'on met sur la bouche de quelqu'un pour qu'il ne crie pas." Ce n'est pas de l'étoffe mais du cuir (ou simili cuir je pense)
J'ai aimé le voir ainsi bâillonné avec ce nouveau bâillon, j'ai trouvé cette vision
encore plus jouissive qu'avec les deux autres. Pourquoi je ne sais pas, je ne sais pas pourquoi cela déclenche cela en moi. Chacun à ses accessoires préférés, pour moi c'est le bâillon sous
toutes ses formes.
Hier, j'ai décidé de mettre la cage de chasteté
toute la journée à mon chéri. Soit environ douze heures, il est vrai que ce n’est pas énorme. Je me l'approprie petit à petit, cela ne fait que depuis que je suis avec lui que je possède cette
possibilité.
De plus, je ne suis pas une grande adepte de cela mais il est vrai que c'est fort de sentir ainsi cette emprise sur l'autre. Je l'ai senti surtout le soir avec son regard qui me demandait de
l'enlever :-) J'ai eu aussi cette impression d'emprise à quelques moments de la journée comme dans la voiture ou dans le supermarché. Eh oui, on est sorti alors que je lui avais mis.
Pour moi, c'est nouveau car je suis passé d'un peu plus d'une heure de cage à une journée complète avec une sortie à l'extérieur. Il a connu plus longtemps avec son ancienne Maitresse, puisqu'il
la portait je crois tous le week-end donc forcement la nuit aussi. J'ai voulu lui éviter la nuit car je ne voulais pas que cela lui casse sa nuit. Je lui mettrais quand je sais que la nuit
d'après il pourra se reposé.
Mais je comprends un peu mieux ce plaisir qu'on les Dominas a leurs mettre de façon continue. Mais pour l'instant, j'avance progressivement et surtout pour le moment j'en ai pas envie. Hier, j'en
ai eu envie mais voilà. J'écoute mes envies et j'avance à mon rythme sans me préoccuper des soit disant "principes et devoirs" de la Domina.
Je fais ma Domination selon mes envies et mon mode et non selon les critères ou mode que d'autres auraient décidés pour moi. je n'aime pas être mouton de panurge, déjà que je ne suis pas la mode
vestimentaire ou coté coiffure ou autre, j'en ai toujours fait qu'à ma tête je ne vais pas changer maintenant ;-)
Hier j'ai repensé au fait que le soumis ,doit faire confiance à la Maitresse. Il a
remis son corps entre ses mains qu'il assume. Même si elle lui donne quelques frayeurs bleues, il doit bien se douter qu'elle ne va pas le trucider.
J'écris cela car je pense un homme que j'avais testé pour être mon valet et c'était impossible. Compte tenu du fait qu'il ne m'a pas fait confiance. Il est vrai que mon but était de lui faire un
peu peur mais c'est ce que j'aime "la domination cérébrale". J'ai fait ce que je lui ai fait à quasiment tous mes soumis et aucuns ne m'a fait ressentir qu'il éprouvait une peur panique. Même si
ils m'ont avouer à la fin de la séance que ils ont eu effectivement peur et que ils ont eu un peu que je dérape. Mais voilà, ils m'ont fait confiance jusqu'au bout et garder leurs peurs en eux et
ce sont laisser dominer jusqu'au bout. C'est ce que j'appelle une relation Domina / soumis.
On a des obligations en tant que Maitresse, celle de garder l'autre en bonne santé physique et moral. On n'a pas à faire réellement tous ce qu'on n'en veut, il reste un humain tous comme nous. On
ne doit pas "l'abimer" physiquement ou alors c'est en commun accor et encore !
Mon p'tit virus, j'ai énormement apprécié qu'il me laisse jouer avec lui et la cire alors qu'il avait eu une mauvaise expérience. De plus, c'était que le deuxième jour où on se voyait donc me
connaissait peu en réel même si en virtuel on se connaissait depuis pas mal de temps.
Son ancienne Maitresse (et première) a joué avec lui avec de la cire et lui a laissé des brûlures dû à la cire trop chaude et certainement trop près de son corps. D'ailleurs quand il bronze, on
voit une trace sur son corps, pas grande je vous l'accorde mais une trace de brûlure dû à la bougie. C'est entre guimets les risques du soumis.
Comme j'aodre jouer avec la cire de bougie, je lui avais dit que j'allais le faire sans savoir ce qu'il s'était passé avec son ancienne Maîtresse. Il m'a expliqué et s'est installé ventre à terre
sur une serviette et a attendu que je joue avec lui et la cire en bon soumis. Je ressentais son appréhension d'être à nouveau marqué par la cire et bien sûr aussi les pointes de douleurs dû aux
gouttes de cire. J'ai vraiment appréié qu'il ne remette pas mon autorité en cause et se laisse faire. Du coup, j'ai été plus attentive et j'ai fait attention lorsque je maniais la bougie et que
je faisais couler la cire sur son corps.
Tout est une relation de confiance entre Domina / soumis qu'il soit notre soumis fixe, occassionel, notre valet, notre esclave....
Voici une photo que j'affectionne particulièrement
car je trouve la photo esthétique. Le baillon aussi bien que le jeune homme me plaise donc j'ai du plaisir à regarder cette photo.
Ce genre de baillon est plutôt pas mal mais la boule est peut être un peu grosse (5cm). Mais il est vrai que cela me plait assez.
Pourquoi cet attrait pour cet accesoire, je n'en sais rien mais je me rends compte plus le temps passe et plus je constate que j'apprécie beaucoup cet accesoire. Cela doit être insconcient, c'est
peut petre pour moi le symbole de la domination insconciement.
C’est quand même spéciale. Ce soir, j’ai apprécié car je n’avais pas à faire la
vaisselle car mon valet l’a faite. J’ai pu allé au lit sans m’acquitter de cette tâche ménagère. Cela fait plusieurs soirs que après mon film, je dois faire la vaisselle et là non :-
)
Il est reparti chez lui après qu’on est passé l’après-midi ensemble. On a
pique-niqué, il avait pris cette initiative :- ) au bord d’un lac de mon choix. Ce fut une après-midi bien agréable à se dorer ainsi la pilule tout en discutant et se faisant masser les
pieds :- ) C’est un jeune homme d’une trentaine d’année sympathique avec lequel j’aime papoter et échanger.
Je l’apprécié en tant qu’humain par ses qualités et aussi en tant que valet car il
est attentif, prévenant. Trouver un autre valet cela serait chose dur car il y a cette alchimie qui serait dur à retrouver. C’est une relation humaine avant tout, une relation d’amitié et de
domination.
Cela me fait penser au deuxième jour lorsque j’étais avec mon p’tit virus (enfin il
ne l’était pas encore) On venait de se rencontrer en vrai, on ne sortait pas encore et ce n’était pas encore mon soumis attitré. Après le repas, il avait pris l’initiative de faire la vaisselle.
J’étais encore habitué aux vanilles qui ne connaissent pas le mot « cuisine » et encore moins le mot «vaisselle » ou plutôt l’expression « faire la
vaisselle ».
J’ai des amies qui se plaignent que les hommes se croisent les pieds sous la table,
ne sont pas assez prévenant, qu’on peut rien faire pour les corriger afin de les remettre plus ou moins dans un droit chemin lol. Moi je n’ai pas de soucis de ce genre ;- ) Bien
sur quand c’est comme ça, je ne prends pas partie à la discussion car forcement je ne peux pas dire « Eh bien le mien il fait la vaisselle, le ménage si je le décide, je le punis quand je ne
suis pas contente de lui. En gros je le forme à mes attentes » Donc je me tais et je me plais à les écouter se plaindre lol ;- )
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