Plaisir lier à une domination

Tout le sens de la d/s tient dans ce mot : "collier". Une fois, le collier passe l'autre ne s'appartient plus. Il nous appartient et devient notre. Il est sous notre possession, il devient notre jouet, notre chose...

Pourquoi différentie-t-on le soumis de l'esclave. Ce collier signifie l'appartenance qui y est rattache. Il évoque bien l'esclavage et par de même la soumission.

Après bien entendu, la soumission en d/s est moins contraignant que d'être esclave. Mais l'esclavagisme est quelque chose historiquement parlant charge de sens et de douleurs et je ne n'aime pas rapprocher soumission d/set esclavage. La soumission d/s est volontaire, librement choisi et consenti même si la partie dominante peut débloque et aller trop loin. L'esclavagisme n'est pas consentie pour ce qu'on appelle l'esclavagisme moderne. C'est une soumission impose et non choisi.

La soumission d/s est un plaisir, un échange de sensations. Il est vrai que j'ai toujours aime mettre le collier a l'homme pour qu'il devienne le soumis. J'aime particulièrement quand mon soumis me tend le collier et que je lui mets et qu'il se retrouve ainsi a genoux :-) Il se remet a moi, se plie a mes exigences et attentes.

J'ai trouve en lui un homme et un soumis. Un soumis patient car j avance a mon rythme et que mes barrières se lèvent petit a petit. L'amour est difficile a conjuguer avec la d/s, je l'ai déjà dit et je maintiens mon avis.
Par Lady Ariciaa
Jeudi 16 décembre 4 16 /12 /Déc 20:51

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Même si le bdsm a carrement bouleversé ma vie. J'en ai tiré du plaisir puis j'ai eu la chance de rencontrer de bonnes personnes que ça soit du coté des Dominas comme des soumis.

J'ai eu la chance quelques mois après avoir découvert ce milieu d'être inviter à une soirée bdsm mais chez une privée. Cela m'a permis de m'ouvrir, d'avoir une autre perception, d'apprendre et de découvrir. J'y ai rencontré des femmes géniales qui m'ont appris beaucoup de choses ainsi que fait connaissances de soumis que j'ai apprecié. Elles étaient là quand j'ai eu envie de quitter ce milieu car cela provoquait trop de bouleversementz et de changementz dans ma vie. J'espère que ces Femmes pour qui j'ai de l'affection se reconnaitront. J'ai aimé faire leurs connaissances, échanger avec elles et les revoir. J'ai depuis faite d'autres rencontres, elles sont également des femmes extra et je me suis prise d'une certaine amitié pour elles ainsi que pour les soumis rencontrés. Ce que j'aime dans ce milieu c'est que les âges et la condition sociale sont oubliées. On est entre pratiquantes et pratiquants, Dominas et soumis.

J'ai aussi des soumis qui m'ont plus marqué les uns que les autres. Certains pour qui j'ai eu ou j'ai de l'amitié tous âges confondus.

Ce monde m'a par exemple permis d'aller au festival de Cannes en tant qu'invité. Combien de personnes lambda souhaiteraient y être et moi j'y étais. Ce fut magique.

 

Le bdsm permet des rencontres inter-generationelles enrichisantes aussi bien en bdsm que en vanille.

Puis j'ai eu la chance de tomber sur un jeune homme qui avait envie d'une relation durable, avec un peu de d/s dedans. Je le trouvais mignon et pas obnubilé par sa condition sociale. Il était naturel, taquin, ayant de la culture. Petit à petit, je réalisais qu'il avait la même conception que j'avais du couple d/s.

 
J'ai eu donc de la chance de rencontrer les bonnes personnes sur mon chemin vers le bdsm.

Par Lady Ariciaa
Samedi 25 septembre 6 25 /09 /Sep 09:47

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Grâce à mon soumis, j’ai découvert un forum où j’apprécie de me connecter. Un peu comme celui dont je parlais au tout début de mon blog où j'appréciais beaucoup de m'y connecter.


 

J’y vais plutôt fréquemment tout dépend des mes activités en semaine. J’ai appris à faire connaissance des personnes qui y sont et à les apprécier.


 

Chaque mois, il y a un tribunal des Divines où les fautes des soumis sont jugés et ils sont punis selon la décision du tribunal.


 

Cette fois ci, ce fut en réel. J’ai eu le plaisir d’être invité par la Divine tenant le forum et une de ses Amies avec l'accord des autres Divines faisant partie du noyau du forum.

Déjà lors des tribunaux virtuels, il y a une bonne ambiance entre les avocates qui essayent tant bien que mal de défendrent le prévenu pendant que les procureurs accablent les prévenus.


 

En réel, cela a dépassé toutes mes espérances. Cela fut extra, un super moment fait de rire, d’échange, de complicité.


 

On a eu le plaisir de se faire servir l’apéritif pendant qu’un groupe de soumis nous servait et que l’autre s’affairait à préparer le repas. Nous avions fait deux groupes de soumis, un pour le service et un pour le repas puis inversement le lendemain. J’ai pu avoir le plaisir d’avoir mon soumis à mes pieds entrain de manger à terre comme un chien dans une assiette. J’étais attentive à ce qu’il n’utilise pas ses mains pour tenir ou rapprocher l’assiette. Chaque Domina avait une ardoise joliment décoré avec son pseudo pour indiquer la place qu’il lui avait été réservé. Le soumis avait aussi un petit support avec son nom posé par terre par la Maîtresse.


 

Nous avons pu manger tranquillement sonnant une cloche si besoin pour nous apporter ce qu’il nous manquait. Nous sommes en suite aller dans la salle pour le tribunal en mettant les soumis dans une salle à part et en les faisant venir un à un pour les juger.


 

Ce fut un vrai plaisir de finalement se casser la tête soit pour défendre le soumis ou pour l’enfoncer (enfin là il n’a pas fallu trop se casser la tête lol ). Car chaque soumis avait deux avocates pour le défendre et deux procureurs contre lui, avec la greffière qui notait le déroulement de la séance et Mme La Présidente qui écoutait attentivement nos dire et statuer en cas de désaccord ou qui apportait son soutien aux avocates ou aux procureurs selon les situations. Il en a parfois résulter de bonnes crises fous rires car les Avocates ont parfois eu bien du mal à défendre le soumis car la faute l’accablait.


 

Puis ensuite, nous nous sommes retrouvés pour statuer sur les punitions de chaque soumis selon leurs fautes. L’échange fut riche d’échanges et d’idées, certaines punitions décidaient au départ par la Maîtresse du soumis fut changer suite à nos discussions et idées. Chacune donnait son avis, tous les points de vue étaient écoutés. Ce fut un moment d’intenses échanges sur chaque soumis et sur les punitions assortis à leurs fautes.

Ensuite nous les avons fait monter pour nous rejoindre et on les fut patienter jusqu’au lendemain matin pour leurs sanctions.


 

J’ai trouvé que mon soumis s’est bien comporté durant cette soirée (et d'ailleurs durant tout le week-end, l'éducation commence à rentrer tout doucement dans sa tête). Il avait mieux assimiler ce que j’attendais de lui par rapport à la première soirée bdsm où il avait pris quelques libertés que j’avais sanctionné de retour chez nous.


 

Le lendemain, ils se sont occupés du petit déjeuner de leurs Maîtresses puis ils ont déjeuner une fois que la Maîtresse l’avait autorisé. Puis on les a parqué à nouveau afin de pouvoir appliquer les sanctions pour chacun.


 

Ce fut un moment que j’ai aussi apprécié car tout comme le jugement ils se sont retrouvés à genoux sur une chaise pour écouter leurs sentences. Puis on a mis en application la sanction décidé. Mon soumis fut jugé pour non respect de plusieurs règles d/s définies et écrites dans le cahier. Il a eu 80 coups de divers accessoires. Chacune des Maîtresses pouvait lui donner 10 coups de ce qu’elle souhaitait. Il y a eu le droit à un paddle simple, un avec des clous en forme de cônes, la cravache, des fessées manuelles, la roulette à pique… Il fut une fois de plus résistant aux coups sans broncher :- ) Il est vrai qu’il reste impassible sous les coups mais j’aime le voir ainsi sans sourciller recevoir les coups punissant ses fautes.


 

Disons que beaucoup de Maîtresses ont trouvés dommage qu’on ne ressente pas ces ressentis. Je peux le comprendre car il est vrai que j’apprécie beaucoup cela aussi mais avec le temps j’ai appris à le découvrir et à le connaître donc je le perçois. On avait un soumis novice parmi nous, ce fut un régal que de le punir. Lui c’était 5 coups par Dominas au choix aussi. Sa tête était  un vrai délice. Son visage était tellement expressif, tout y passer, la bouche, les yeux … S'il n’avait pas été attaché, je crois qu’il aurait pris ses jambes à son coup mdr. Un moment, une Domina est parti dans un délire et ces yeux on aurait dit qu’il allait sortir de ses orbites tellement qu’il avait ouvert grand les yeux lol. Il était très expressif, sa bouche se tordait dans tous les sens, ses yeux sans arrêt s’ouvraient de découverte face à tous cela lol. Ce fut un excellent moment que de s’occuper de le punir lol.


 

Puis le deuxième groupe où il avait mon soumis sont montés s’occuper de nous préparer le repas du midi. Une Domina a eu l’idée de les attacher par les mains car il avait deux cuisiniers dans le groupe contre qu’un pour l’autre groupe. J’ai plutôt proposé suite à un commentaire d’une Domina que si on voulait manger à l’heure du goûter rien de tel. Alors j’ai proposé de les attacher par les pieds ce qui fut adopter. Ca m’a fait sourire de voir ainsi mon soumis attaché à deux autres lol. Quand on en appelait un peu, les deux autres devaient suivre lol.


 

Ce fut un week-end très agréable, dans un superbe endroit, dans une maison très bien décoré et agencé et surtout grande. J’ai pu revoir un soumis que je n’avais pas vu depuis deux ans et demi quasiment et que j’avais apprécié. J’avais enfin pu rencontrer sa Maîtresse depuis le temps. J’ai pu rencontrer d’autres Divines avec qui j’ai aimé échanger et faire connaissance. :- ) ainsi que des soumis. Donc pleins de nouvelles têtes, de souvenirs et de plaisirs.


 

Plus le temps avance et plus je me dis que nous formons un couple un peu spécial lol. Avant j’étais toujours la plus jeune dans les soirées et maintenant nous sommes le couple le plus jeune des soirée :- )


 

J’enviais quand j’étais chez moi, un couple que je connaissais et maintenant je vis cela et quel plaisir :- ) Partager ses moments là avec une personne avec qui on est intime, c’est magique. Cela resserre les liens, renforce les sentiments. C’est tout simplement extraordinaire comme sensation de pouvoir partager tous cela avec quelqu’un qui nous comprend et qui prend tout autant plaisir que nous.


 

Trouver son autre c’est déjà pas facile mais un autre qui aime la soumission avec la même vision du bdsm que nous c’est encore plus dur. Ce n’est plus une aiguille qu’on cherche dans une botte de foin … Je pense que surtout la chance que j’ai eu c’est que à notre âge, j’avais constaté que les hommes n’ont pas envie de se lancer dans une telle relation, il garde cela comme amusement mais en gardant une vie « vanille ». C’est plutôt vers 30/40 ans que les couples se construisent j’ai pu constater sauf exception bien entendu. Je connais un autre couple de notre âge.


 

Après pour vivre ce bonheur, j’ai quand même quitter ma région, mon chez moi, ma famille et mes amis. Je pense que cela valait le coup car vivre une telle relation n’est rien à coté d’une relation vanille que j’aurais pu connaître là bas chez moi.

Par Lady Ariciaa
Jeudi 3 juin 4 03 /06 /Juin 17:35

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Rien de tel que de mettre le collier, rien que ce geste je le trouve déjà terriblement  érotissant.

Avant que j'offre mon collier à mon p'tit lu. J'avais un collier acheté en animalerie qui faisat un petit bruit lors de la fermeture. C'est deux enbouts à enboiter l'un dans l'autre d'où le bruit quand il est clipsé. Depuis le début; j'ai aimé ce petit bruit. Je le trouvais "excitant".Finalement ce n'était qu'un plaisir psychologique car cela voulait dire que la séance allait commencer.

De toute façon, d'où nous vient ce plaisir que nous procure la d/s ? C'est le cerveau qui crée ce plaisir car il n'est en rien physique (sauf si on fait du sexe bien entendu). Comme j'aime dire, j'ai l'impression que le pouvoir me coule dans les veines. C'est une impression, une sensation, un plaisir généré par le cerveau.

Le fait de mettre le collier à un homme à genoux est très excitant. Car il devient soumis, il y a inversion des rôles pré-établis par la nature. Nous sommes debout et lui à genoux. Il doit donc lever les yeux pour nous regarder.

Je n'ai jamais eu de "sexe pur" avec mes soumis car la séance me donnait ce plaisir cérébral qu'on ne peut connaitre en vanille. Depuis que j'ai mon soumis d'amour, je constate que le sexe en fin de séance d/s est une explosion de plaisir. Le coté "animal" qui est en nous mais caché, réfrené par la société, les bonnes moeurs...peut se réveiller et on peut se laisser aller. J'aime d'ailleurs le voir en "mâle" ainsi livrer à mes envies et pulsions, c'est très excitant et érotisant.

Aller dresser un homme après sa jouissance, la soumission s'est comme dissipé. Il a beau essayé de continuer à l'être, on sent que le coeur et l'envie n'y sont plus. Le plaisir animal a pris le dessus sur le plaisir de la soumission pour un temps.

J'aime quand mon homme me tent son collier à genoux : -) et que je lui mets. La d/s permet d'explorer des plaisirs inconnus en vanille, elle permet aussi de mieux connaitre et de gouter à des sensations et ressentis qu'en vanille on ne pourrait avoir et surout connaitre.

Pourquoi de plus en plus, les couples s'essayent au sm soft ? Car on explore la sexualité différement. De plus, la publicité; les médias... s'en sont emparés.C'est devenudans l'air du tout même si ça reste tabou.

D'ailleurs une ministre dans le cadre d'une loi avait eu le projet d'interdire les sites sm. Donc nous nus serions retrouver dans lillégalité en consultant certains sites bdsm que nous avons l'habitude de consulter lol.

Le lien sur l'article, la référence au sm est à la fin : link


 
Par Lady Ariciaa
Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 15:57

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Il y a maintenant plus d'un an que j'ai fait connaissance avec un jeune homme sur un des forums où je suis inscrite. Il parlait avec un autre soumis d'un accessoire qui m'intriguait de plus en plus. je cherchais un maximun d'informations sur cette accesoire.

J'avais consulté des blogs, des forums... j'avais même acheté un petit livre qui en parlé. J'avais envie de le faire mais pas avec n'importe qui. J'avais un soumis avec qui j'en ai eu envie, nous avons fait l'achat mais par la suite il s'est dégonflé. (il s'est d'ailleurs souvent dégonflé pas que pour cela ! enfin c'est du passé.)

Je me souviens quand on a été au sex shop parti l'acheter et qu'on est passé à la caisse. Il en béguayait presque, il était tout rouge et avait une respiration rapide. En même temps rien d'étonnant car une femme et un homme et cet achat on se doute bien que ce n'est pas l'homme qui va s'en servir mais bien la femme. Donc cela place l'homme dans une position de reception et aussi de soumission si cela leur vient à l'esprit. Il l'était mais ce n'était évidamment pas écrit sur son front.

Est ce que j'étais réellement prête, je ne sais pas. Mais il y a beaucoup de choses que j'ai faite en bdsm sans vraiment être prête car je me disais que je ne le serais jamais . Alors je me jettais dans le bain. Comme ma première soirée en Belgique, je ne me sentais pas vraiment prête. Puis j'étais habillé sexy (enfin en tenue de Domina, avec de la dentelle jusqu'au pied et des cuissardes avec des talons aiguilles) Je trouvais cela très sexy et je me disais que j'allais être au milieu d'autres Maitresses et surtout confronté à une autre vision du bdsm que la mienne. C'est ce qu'il me faisait le plus peur, d'être habillé ainsi donc être reconnu Maitresse et être parmis d'autres personnes n'ayant pas forcément la même vision que moi. Ou encore ma première sortie en club libertin, je ne suis pas du tout libertine. L'exbition ou le sexe à plusieurs ne me tente guère. Ou encore la cire avec mon premier soumis....

De ce fait, une fois que je suis sortie avec ce jeune homme rencontré sur le forum et que notre relation durait dans le temps et que le feeling se crée petit à petit. J'ai commencé tout doucement à prendre mes marques, à apprendre à dominer une personne pour qui on a des sentiments autres que amicaux, à apprendre à connaitre l'autre, son corps, ses appréhensions, ce qu'il apprécie, ce qu'il redoute, à découvrir ce que j'aime, ce qui me fait vibrer.

Ce qui est finalement agréable dans une relation de couple d/s, c'est qu'on a pas besoin de courir en se disant peut être que demain je ne serais plus sa Maitresse car il aura une petite amie ou ne voudra plus être mon soumis. Il y a une confiance qui s'établie entre nous. Je peux enfin arrêter d'être le lièvre et être enfin la tortue (de plus c'est elle qui gagne alors qu'elle prend son temps).

Il est vrai qu'il me l'avait proposé en septembre mais je ne me sentais pas encore vraiment prête. Je pouvais de ce fait prendre mon temps et attendre que je me sente vraiment et réellement prête pour cela. J'ai pris mon temps, mes marques, je me suis découverte, j'ai découvert le plaisir de la d/s en couple, les sensations que cela donnait, ce que cela permettait => s'épanouir librement sans se cacher, être soi même.

Je ne dirais pas que la d/s est une thérapie de couple mais je pense que cela permet une meilleure osmose dans le couple, une meilleure compréhension. On ne sait pas disputer en plus d'un an. Il y a eu une fois où je lui en ai un peu voulu et j'étais mécontente mais c'est passé. Disons que je ne suis pas rancunière et les week end suivants, il n'y a pas eu d'ombre au tableau donc ça disparut.

Après je pense que c'est aussi dû à nos caractères respectifs car on laisse libre l'autre de faire ce qu'il a envie, libre de ses délires... On ne s'interdit pas, on ne s'interdit rien. On peut dire qu'on est pas d'accord, qu'on est pas forcément emballé, que l'autre fait quelque chose qui ne va pas, qui nous plait pas... mais sans agressivité, juste des paroles, des suggestions. Juste pour que l'autre s'amélirore ou sache que cela nous plait pas pour diverses raisons.

De toute façon la jalousie, le fait d'interdire, d'être soupconneuse, d'être derrière lui, sur son dos..... ne fait que je pense creuser un trou entre les deux et un jour le trou se transforme en creuvase et la discussion ne peut plus faire car les deux personnes sont trop éloigné l'une de l'autre pour se parler et dire ce qu'il ne va pas. RIEN NE VAUT LA DISCUSSION DANS UN COUPLE et que surtout aussi les concessions aillent dans les deux sens.

Pour en revenir au point de départ que je n'ai toujours pas dévoilé ;-) J'ai envie de vous mener ainsi jusqu'au bout en vous posant la question mais de quoi elle parle ! ! !

Ca fait maintenant quasiment deux ans que j'ai cette idée, ce fantasme en tête, en moi et plus d'un an que je suis avec mon homme. Je me suis senti prête il y a quelque temps. Nous avons donc commandé cet accessoire. Lorsque je l'ai reçu chez moi, je l'ai essayé et cela me faisait bizarre d'avoir un sexe entre les jambes. Eh oui, on a fait l'acquisition d'un gode ceinture. Il est bien mais cela fait bizarre de se voir afabulé d'un sexe masculin ainsi entre les jambes.

Ce qui fait encore plus bizarre c'est quand on s'apprête à prendre son soumis qui est aussi me concernant mon chéri, mon amour, mon p'tit viirus. C'est très spécial comme sensation, terriblement excitant pourtant ce n'est qu'un plaisir cérébral car nous on ressent rien on ne fait que donner. Mais tenir mon chéri entre mes mains et donner des coups de rein ainsi. C'est bizarre, presque perturbant mais tellement fort. Car on possède vraiment l'autre, on entre dans un endroit intime, on rentre en lui, on "l'encule" ! ! ! Eh oui, on encule celui qu''on aime ! Oh comme c'es vulgaire, ça choque presque ! Car une fille a l'habitude qu'on entre en elle, qu'elle recevoit quelque chose en elle. Car l'amour c'est le sexe masculin qui rentre dans le vagin donc qui se plonge dans le corps feminin, la fille invite l'autre à rentrer en elle. Alors que l'homme son sexe est extérieur donc il n'a pas l'habitude de recevoir mais de donner. Là,  il reçoit l'autre dans son intimité. Puis la femme recevoir ce n'est pas tabou alors que pour l'homme si recevoir c'est tabou car cela vaut dire via les fesses. Et oh, ce n'est que les homos qui font ça ! lol ! Eh oui c'est l'avis de beaucoup d'hommes publiquement après en privé c'est autre chose ;-)

Je pensais que cela aurait été plus difficile la première fois. Car je lisais souvent que le coup de rein n'était à facile à prendre étant une femme et n'étant à habituer à celà nous. Je ne pensais pas non plus que cela soit excitant et plaisant à ce point car c'est un plaisir essentiellement cérébral avant tout.


Cela m'a bien inspiré en même cela n'est pas étonnant. Car c'est une première fois après quasiment deux ans que cela me trotte dans le tête, cela me tente. Un fantasme réalisé avec homme, mon chéri :-) Cela me ravie car on a pris tous les deux du plaisir.

:-)

Par Lady Ariciaa
Lundi 13 juillet 1 13 /07 /Juil 14:08

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J’ai une collègue qui me disait que ce qu’elle aimait chez son homme c’était surtout son regard. Je peux la comprendre, j’ai déjà été happé par un regard, qu’une fois. Mais c’est un regard qui nous soutient et qu’on a du mal à quitter car nous absorbe, presque nous fascine.

 


Elle me disait qu’elle aimait ses différents regards, coquin, heureux, taquin, mécontent… Je lui ai juste dit que moi aussi le regard  a toujours été quelque chose de très important chez l’autre pour moi, je dirais presque primordial. Il faut que le regard de l’autre me plaise, le regard de mon p’tit virus c’est bizarre à dire mais ce sont des yeux souriant. Je veux dire par là, que c’est un regard pétillant, plein de soleil, un regard vivant. Je ne sais comment le décrire, enfin surtout décrire ce que je ressens en le regardant. Je l’ai remarqué de suite dès notre première rencontre en réelle.

 


Un homme a beau avoir du charme pour moi, si son regard ne m’attire pas. Je ne suis pas attiré. Le regard est quelque chose qui te suit tout au long de ta vie (sauf accident de la vie) alors que le physique évolue et change au cours de la vie. Un regard, ça se grave dans la tête.

 


Il y a environ un an et demi, j’étais tranquillement en train de feuilleté un magazine publicitaire pour téléphonie mobile dans la rue quand un jeune homme m’a regardé. Nos regards ce sont croisés et de suite dans ma tête son nom et prénom me sont revenus. Il avait pourtant changé car cela daté du collège, en 6ème. Du coup, j’ai dit son prénom et il s’est retourné. Je lui ai dit bonjour et effectivement c’était bien lui. Je n’en revenais pas de l’avoir reconnu que par son regard.

 


Justement en revenant à ma collègue, je pensais en moi même qu’elle ratait des regards chez son chéri certainement. Enfin qui sais après tout. Il y a des regards en d/s qu’on ne peut retrouver en vanille car ils sont contradictoires ou alors très fort, intense.

 


Par exemple celui du plaisir d’être soumis à la Domina mais en même temps le regard « mécontent » d’être remis à sa place ou frustré par exemple. C’est un mélange de regard improbable dans la vie de tous les jours. On ne peut pas être en même temps heureux et mécontent. Où le regard où on joue avec l’autre en le bâillonnant, le bondageant ou quand on le frustre… Un regard de mâle soumis frustré miam c’est un régal, mais cela n’existe pas en vanille. Car peu d’hommes ont un regard excité quand leurs femmes ou petites amies les frustrent en vanille ou sinon je pense que cela se serait. Il y aussi le jeu du regard entre soumis et Maîtresse qui est différent qu’en vanille car pas la même signification….

 


On peut écrire beaucoup sur le regard en d/s. Je me disais juste donc que ma collègue passait peut être à coté de regard intense, fort et parfois terriblement excitant si elle était vanille. Car je raffole du regard en d/s et tous ce que le regard évoque dans les sensations ressentis en d/s.
Ne dit on pas que le regard est le reflet de l’âme !
Par Lady Ariciaa
Jeudi 4 juin 4 04 /06 /Juin 23:04

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Hier sur un forum où je me rends de temps en temps, il y avait une discussion entre un soumis, une Maîtresse et un homme qui essayait de comprendre la soumission. J’ai bien vite compris à mes débuts que chercher à comprendre était bien vain. On ne peut comprendre la nature humaine et ces mystères. Le chemin qui nous mène au bdsm est pour chacun différent et aussi ce que l’on en attend. Certains veulent une relation à 100 % soumise à leur partenaire, d’autres en couple mais cela de temps à autre, d’autres ne veulent pas conjuguer amour &  bdsm…

 


Au bout de quelques questions que je lui ai posé, il nous a dit qu’il dominait sa femme mais seulement au lit (et sans accessoires.) Donc le mâle dans toute sa splendeur en mettant le plaisir de madame de coté. Il nous a demandé quel plaisir avait-t-on à ainsi se soumettre ou à dominer. Un soumis a répondu que lorsqu’il se soumettait cela lui permettait de faire le vide, de souffler. Car il n’avait plus à réfléchir mais à obéir tout simplement. De mon coté, je lui ai dit que l’autre devenait tel un jouet, un jouet humain réactif à nos envies et désirs. Il m’a donc demandé ce que je faisais à mon « jouet ». Je lui ai dit que je lui faisais des bondages, je le bâillonnais, je jouais avec de la cire, avec un plug ou autres. Là, il m’a fait sourire car la réflexion purement « machiste » je dirais. Il nous a sorti « comment ton jouet peut prendre son plaisir par derrière si il n’est pas un peu homo car moi je suis hétéro et je n’aurais pas ce plaisir ». Je lui ai donc dit que son point G était bien derrière et que mon soumis était bien 100 % hétéro. Et surtout que mon soumis était un homme avant tout, un « vrai » avec un fort caractère et que dehors personne ne pourrait soupçonner sa soumission en privé.

 


Il était un peu déconcerté car quand il m’a demandé quel plaisir j’avais à ainsi m’occuper de son derrière. Je lui ai dit que c’était un plaisir cérébral, que la d/s était un savant mélange de plaisir physique et cérébral. La d/s était une pratique très jouissive car tous les sens sont en éveil et que je ne pensais pas qu’il avait déjà ressenti du plaisir cérébralement en faisant l’amour avec sa compagne.  Le plaisir cérébral fait aussi que le plaisir physique est amplifié. Je pense qu’il avait imaginé des choses très stéréotypé et là face à deux femmes qui le vivaient dont une en couple et à un soumis qui le vivaient aussi en couple, il était un peu décontenancé.

 


Ce fut néanmoins, une discussion bien intéressante surtout que vers la fin un soumis plus âgé que l’autre est arrivé dans la conversation. Il a fait allusion à la communication, au plaisir partagé… J’avais dit à cet homme qui essayait de comprendre que la d/s permet à un couple de lever plus facilement et rapidement les tabous, cela permet une meilleure communication et compréhension de l’autre. Cela permet aussi de renforcer le couple, un meilleur épanouissement de l’un et de l’autre car on peut être soit même. On peut parler de ses envies sans se demander ce que l’autre va penser de nous, cela nous permet de nous ouvrir à diverses choses. Tout cela permet qu’au lieu au départ, on découvre l’autre et que l’on tâtonne. Tout simplement le partenaire dominant peut jouer avec l’autre, bien sur la communication est primordiale pour savoir si l’autre a des appréhensions face à certaines situations ou autres.

 


Dès le départ avec mon soumis, on n’a pas tangiversé. Je l’ai mis en boxer et j’ai pu jouer avec lui. Mais je savais qu’il avait une appréhension par rapport à la cire de bougie suite à son ancienne Maîtresse qui lui a laissé une trace car la bougie était trop près donc l'a brûlé. Je dirais que c’est les risques du jeu, on se laisse faire donc parfois il y a des dérapages. Je dis souvent aux soumis novices de ne pas se donner à n’importe quelle femme sous prétexte qu’ils sont des hommes et peuvent maîtriser une femme. Car une fois attaché, la force physique ne sert à plus rien, juste à faire beau. La femme est maître(sse) du corps de l’autre et peut en faire vraiment ce qu’elle veut. Je me suis occupé d’un soumis qui avait été handballeur et un peu rugbyman donc vous devinez qu’il avait une carrure assez important.e Parfois, j’avais l’impression qu’il avait envie de se détacher mais il a juste réussi à avoir de belles marques aux poignets. Si la Domina connaît tout comme moi un nœud qui permet une sécurité maximale, homme ou pas bon courage pour se défaire. C’est une Maîtresse qui a plusieurs années derrière elle, ce n’est pas deux ou trois mais plus de dix ans qui m’a appris ce nœud qui m’est d’ailleurs fort utile, je la remercie. Ce nœud permet que l’autre ne se blesse pas car le sang peut s’écouler normalement car la corde n’enserre pas le poignet et ne coupe pas le sang coulant dans les veines. Le nœud ne peut pas s’enlever en tirant ou ne peut glisser. Tout cela pour dire que comme je savais qu’il avait une appréhension face à la bougie, j’ai été beaucoup plus attentive à lui et j’ai pris plus soin d’être à son écoute. Je n’ai jamais brûlé un soumis avec une bougie car j’adore cela et je sais la hauteur mais c’est souvent une pratique qui donne des sueurs froides au soumis.

 


Avoir un être humain sous ses envies et ordres est un cadeau magnifique, car il nous offre sa confiance, nous la donne et se remet  nous. On a donc sous notre responsabilité une personne et on a l’obligation d’en prendre soin. Certaines Maîtresses s’en fichent et jouent comme elles l’entendent et l’autre n’est que bon à se taire et obéir. Ce n’est en aucune façon ma vision, je pense que la communication  il n'y a rien de tel. J’ai eu un soumis que j’avais attaché et qu’au moment d’utiliser la bougie, il a commencé à avoir peur et à se débattre. Alors j’ai éteint la bougie, je me suis assis à coté de lui et je lui ai expliqué que je savais ce que j’allais faire. Que j’avais prévu de l’eau et je n’allais pas le brûler. J’ai pris un peu de temps pour le rassurer et lui expliquer. On a un peu conversé sur le sujet car il n’avait pas le bâillon car j’aime entendre la respiration et les soupirs lorsque la cire tombe. Dire que je l’avais rassuré était un bien grand mot mais il s’était calmé et je lui avais demandé si on pouvait continuer. Il m’avait dit "oui " mais c’était un petit oui, pas très sûr de lui. J’y suis allée du coup avec plus de douceur, j’ai tenue la bougie plus haut et j’ai pulvérisé de l’eau de suite. Du coup, il a gardé un souvenir de « vrai soumission » mais pas de douleur. Car là il était vraiment soumis car il n’était plus maître de son corps.



Je pense que rien ne vaut la communication, le safeword est quelque chose de bien mais souvent une fois utilisé lorsque les limites du soumis sont depuis longtemps dépassées. L’égo fait que le soumis ou la soumise essaye d’endurer le plus longtemps possible sans broncher donc une fois le safeword utilisé, c’est qu’il ou elle ne peut plus endurer, il ou elle a largement dépasser ses limites. Je n’ai jamais défini le safeword avec mes soumis car je fais attention à l’autre, je lui demande si ça va. J’essaye de le comprendre, je suis attentive, à son écoute. Je me suis occupé de beaucoup de novices et ils me sont revenus donc c’est qu’il avait eu une bonne image du bdsm. Je pense que si le novice tombe sur une Domina un peu hard ou autres, il n’y reviendra pas et ce n’est pas mon but car c’est un plaisir tellement différent et jouissif que le sexe dit « classique ».

Par Lady Ariciaa
Samedi 21 mars 6 21 /03 /Mars 12:05

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J'ai lu sur un forum où je suis inscrite que beaucoup de soumis(e)s se livrent en expliquant leurs plaisirs et en exposant leurs fantasmes mais que les Dominant(e)s ne se livraient que peu.

Du coup, on pouvait assez facilement comprendre le plaisir de la soumission via divers blogs, articles, post et que sais je encore. Par contre peu de blog de Dominant(e)s expliquant et relatant leurs plaisirs et fantasmes.

 

Du moins du coté des femmes, c'est souvent un homme déjà qui amène la femme à la domination. Donc au début ce n'est pas forcement le fantasme de la femme ou alors pas consciemment. Elle explore ce monde mais n'a pas forcement envie de se livrer car elle même a du mal à comprendre ses ressentis et ses sensations.

 

De mon coté, si je l'ai crée c'était justement pour cela. Pour ne pas découvrir ce monde toute seule et être en contact avec d'autres personnes, échanger...

 

J'aime entendre un homme me vouvoyer, m'appeler Madame, pas forcément Maitresse. Je trouve que cela sonne bien à mes oreilles. J'aime mettre le collier au soumis et lui signifier ainsi qu'il m'appartient dorénavant jusque je décide de lui rendre sa liberté. J'aime mettre le baillon car par mon acte et par ma décision je prive l'autre de parole et si je le laisse assez longtemps je l'humilie car il ne peut retenir sa salive et se retrouve à baver. C'est humiliant car il sent sa salive couler mais ne peut l'essuyer car les mains sont attachés. Vous allez me dire que c'est pas très érotique, non c'est sur mais c'est un délice de la domination car l'autre ne s'appartient plus. Il prend conscience alors qu'il n'est plus maitre de ses mouvements, qu'il est sous notre gouverne et ne peut s'en soutraire. J'aime donner des coups de cravache si je l'ai décidé et le nombre que je veux et entendte l'autre les compter sans savoir jusqu'à quand il va les compter. J'aime avoir un homme agenouillé à mes pieds et moi tournant autour. J'aime bander les yeux d'un homme et jouer avec ses sens...

 

J'aime tellement de choses dans la domination, c'est si vaste et si grisant et plaisant.

 

On ne peut le définir, l'expliquer avec de simples mots. C'est un plaisir cérébral mélangé à du plaisir sexuel. C'est un pouvoir que l'autre nous confère et que dans la vie de tous les jours on ne peut avoir même si on a un poste important. Car là, on joue avec l'autre, il devient notre jouet, notre matière première pour un bondage par exemple, notre sextoys si l'on décide ainsi, notre repose pied, notre masseur... Il peut devenir ce qu'on a envie qu'il devienne, avec un salarié on ne peut pas.


D'où le plaisir de la domination ce pouvoir que l'autre nous donne, son corps qui nous offre. Ce don est un merveilleux cadeau car il nous remet sa confiance.


Par Lady Ariciaa
Lundi 23 février 1 23 /02 /Fév 16:57

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je me demandais ce que je pouvais bien offrir à mon chéri pour Nöel. J'avais lu un article sur un blog qui m'avait plu, d'ailleurs j'en ai fait un copier/coller que j'ai mis sur mon blog. J'ai eu une envie de voir ce que c'était pour peut être acheter cette machine. Quand j'ai réalisé que c'était du courant électrique à envoyer sur les parties génitales, cela m'a refroidi. Du coup, j'ai commencé à faire une recherche d'un autre objet/machine qui puisse être ainsi mais sans le courant.

J'ai eu tout d'abord l'idée du plug vibrant mais on m'a dit que cela n'existait pas. On m'a mis sur la piste de l'oeuf vibrant. Alors comme mon chéri était absent, j'en ai profité pour mettre des post sur ce sujet sur divers forums où je suis et à poser des questions aux gens que je connais pour m'aider à faire mon choix. Car il y a tellement  demodèles et puis des prix tellement différents. On m'a conseillé qu'il soit waterproof car ils ne le sont pas tous, éviter certaines marques ou bas prix car ils ne marchent au mieux  que 2/3 fois si ce n'est qu'une fois.

Après donc mes différents post et les réponses qu'on m'a apporté, après les questions posées posaient aux personnes que je connaissais, après mes recherches sur internet et sur un site de comparaison coquin. J'avais une idée précise de ce que je voulais et les critères du produit désirés. Comme j'allais en Belgique à la soirée et que je m'arretais à Paris pour rejoindre une Domina qui y allait et me prenait au passage. j'en ai profité pour aller dans un magasin sm pour me rendre compte par moi même des produits et avoir les conseils des vendeurs tant à faire. Il a du me trouver casse pied lol car il a vu que je n'étais pas une néophyte et que je m'y connaissais lol. Car il m'en a proposé un et je lui détaillais ce que je voulais, je lui posais des questions. il a dû aller voir sa responsable pour une de mes questions, voir dans la réserve pour avoir la description exacte du produit. Il a du se dire ah la la, celle là. Lol ;-) Mais j'ai eu comme ça ce que je voulais et j'étais sur de mon choix. Ne dit on pas le client est roi. (Si des commerçants me lisent, vous devez me maudir lol ;-) ) Je ne suis pas comme cela mais je ne voulais être sur de moi et de mon choix.

Il n'y a pas de doute c'est bien un oeuf vibrant, je l'ai essayé en le tenant dans ma main. Ouh la, ça décoiffe car il vibre bien et surtout j'adore c'est les variations d'intensité, c'est excellent. Je ne regrette pas l'achat surtout que cela a l'air d'avoir plu à mon p'tit virus, j'en suis ravie. Car je ne vous cache pas que j'avais un petit doute. Je n'ai pu l'essayer car il est patraque donc ce fut un week end plutôt vanille. A part le samedi où il était plutôt en forme, dimanche et hier et même aujourd'hui il est toujours un peu patraque. C'est un peu rageant car je ne l'ai pas vu durant un mois et voilà qu'il est malade quand on se revoit ! Enfin, ce n'est pas grave.

 

Cet oeuf vibrant me fait penser un peu comme à une voiture télécommandé lol. Je vais télécommandé mon petit ami, lol !

Par Lady Ariciaa
Mardi 23 décembre 2 23 /12 /Déc 10:12

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Le lien que j’ai mis précédemment sur mon blog « révélations sm » m’a vraiment plu car il y a une bonne partie où je suis en accord avec ce qu’il dit même si c’est un Maître. Il y a des passages où je ne suis pas en phase avec lui comme « sur la maladie », étant enfant j’ai eu des idées oui bien sur mais je ne m’étais pas de nom dessus. Je le vivais normalement, je ne voyais pas de problème à cela. C’était un peu c’est vrai mon jardin secret car je ne voulais pas partager ces « idées », pourquoi je ne sais. Peut être inconsciemment, je sentais que cela n’avait rien de bon à être dit. Des choses qu’on explique pas, c’est ainsi. C’est comme je dis souvent le mystère de l’être humain.

 

Voici des parties de son texte qui ont eu échos en moi mais je préviens il y a de la lecture  :

 

« Si j’étais sénégalais et que j’emménageais dans le Paris des années 30, je n’attendrais pas de mes voisins qu’ils changent la couleur de leur peau. J’aimerais ne pas avoir à vivre caché et au delà d’être toléré, je serais heureux qu’ils admettent mes différences et me respectent en tant qu’individu. Ayant obtenu cela, peut être, à la nuit tombé, me surprendrais-je alors à rêver d’un temps futur où ce voisin qui m’a maintenant accepté, en viendrait à me défendre en mon absence.

 

Il y aurait ce dîner, des hommes blancs, des femmes blanches. Des enfants blancs. Tous paisiblement attablés. Puis la conversation qui filerait bon train, basculerait soudain sur le sujet des gens de couleurs. Dans cette France du début du siècle, nul doute que les clichés d’infériorité raciale feraient surface au fil du dialogue…sans nécessairement songer à mal, ne vous y tromper pas, mais tout bonnement faute de penser. Faute de penser, l’un dirait « Le cantonnier de mon village est noir mais il a une très belle philosophie de la vie.» Et les enfants entendraient. A défaut d’y avoir réfléchi un autre déclarerait « Il paraît qu’en Afrique, l’eau est si impure qu’elle ne peut être bu que par des indigènes… ou des animaux. » Et les enfants entendraient cela aussi. Le discours général ne serait pas forcement hostile, seulement empreint d’idées préconçues, reprises ici et là et jamais méditées. Alors dans ce songe, mon voisin se lèverait pour prendre la parole. Sans essayer de défendre quiconque, il inviterait seulement l’assemblée  rechercher l’origine des préjugés, à les remettre en doute… et surtout  ne plus colporter de ces pensées toutes faites qui ne proviendraient ni de leurs réflexions propres, ni de leurs expériences personnelles. »

 

Je trouve ce passage si vrai, ce jugement fait des « on dit », juste on colporte des idées reçues entendus ici ou là mais jamais réfléchis ou médités juste répétés à l’infini sans se poser deux secondes et réfléchir à ces idées préconçues et impersonnels qu’on transmet ainsi.

 

« Les adjectifs « maso » ou « sadique », désormais suffisamment usuels pour qu’on ne passe pas une semaine sans qu’ils soient prononcés dans notre entourage immédiat »

 

Une fois de plus, c’est tellement vrai. Même sur mon lieu de boulot, des collègues maudissent les clients et utilisent des termes « sm » mais voilà sans plus. C’est des termes qui sont rentrés dans le langage de tous les jours, on n’y prête même pas attention et personne n’est offusqué qu’on les utilise.

 

« BDSM => bondage, domination, sadisme, masochiste … ou bondage, discipline, dominant, soumis… Il existe de nombreuses variantes plus ou moins douteuses dans les définitions de ces quatre lettres. »

Pas de commentaire, à votre imagination ;-)

 

« Je n’adopterais pas le terme sm pour décrire mes besoins. J’y entends trop souffrance et mal alors que je n’ai pas d’attirance pour la douleur proprement dite. Du sm, j’adopte par contre bien volontiers tout le folklore extérieur, les tenues, l’imagerie des accessoires de torture, le protocole, les notions d’obéissance et de punition, tout ce qui en bref peut paraître aberrant à des gens aux goûts normaux »

 

Tout d’abord, je ne dirais pas que c’est des besoins pour moi mais des envies juste. Car je peux très bien vivre sans, ce n’est pas vitale. Le mot besoin, je trouve qu’il a une connotation forte que moi je ne conçois pas.

 

Puis ensuite qu’est ce que n’est « normal », qu’est que la normalité ? Ce piment qui vient agrémenter nos vies et donc anormal, hors norme ?

 

« De telles femmes n’existent pas (en parlant des femmes soumises) Le concept même d’une femme trouvant son plaisir érotique dans la soumission, j’en étais persuadé était une pure invention masculine un pur rêve de mâle et rien de plus. »

 

J’ai eu cette même pensée, lorsque je pensais à enfermer et attacher des hommes pour m’en occuper comme je disais dans de précédents articles c’était des idées très soft, des idées de pré-adolescent voir adolescent. Je ne pensais pas que des hommes pouvaient accepter d’être ainsi soumis à femme et d’accepter leurs désirs et volontés. Je ne cherchais pas non plus à savoir si ils existaient persuadés que cela ne pouvait exister.

 

« Le sm dont nous abreuvent les médias n’existent pas ailleurs que dans l’imagination collective, sous la forme d’une pathologie hallucinatoire à laquelle aucun malade ne pourra jamais s’identifier. Et cette farce universelle, pour avoir le mérite d’alimenter les fantasmes populaires des deuxièmes parties de soirées télévisuelles. »

 

Je ne me considère pas comme malade, pourquoi serais je malade ? Non c’est juste que étant curieuse, j’ai découvert une autre façon d’envisager les relations dans un couple et comment pimenter notre vie sexuelle en dehors du lit. Concernant la télévision, je dirais que c’est tout à fait vrai. Entre une émission que Delarue avait consacré aux fantasmes avec donc une Maîtresse et son valet sur le plateau , bien sur en deuxième partie de soirée pour ne choquer les âmes sensibles en autre sans parler du câble et de la tnt.

 

« Dois-je dire à mes amis que je suis amateur de sm ? Pourquoi le dire ? Parce que même sans prôner l’ostentation, les instincts sm transparaissent affreusement auprès de l’entourage. Sans parler d’un oubli d’accessoire dans un coin, d’une marque de collier ou de menottes qui se voient encore le lendemain. Il semblerait que les amis proches devinent ou suspectent votre nature sm. Je l’ai souvent constaté à mon détriment. Enfin, il y a le mensonge. Se débarrasser du mensonge : ne plus à avoir à  inventer des prétextes pour s’assurer à l’avance que l’on ne sera pas dérangé à tel date, ne pas devoir trouver de justification scabreuses pour expliquer une indisponibilité, une rencontre inopinée. Et au delà de tout ça, lever de sa vie un voile que l’on a dû maintenir des années durant à l’égard de ses amis les plus intimes, dissiper le brouillard que l’on a entretenu afin de leur masquer toute une partie de la vie qu’on s’enorgueillit pourtant de partager avec eux. »

 

Moi je ne dis, ne faites pas cette bêtise car je l’ai faite et cela a failli gâcher ma relation d’amitié avec ma meilleure amie que je connais que 20 ans. Je pensais qu’elle me comprendrait malgré que cela puisse la dépasser, ne pas me jeter de suite l’opprobe et puis je ne voulais pas lui cacher, finalement ce fut une belle erreur. Maintenant c’est passé, on est redevenu comme avant mais bien sûr elle pourra jamais se l’enlever de la tête. Cela restera pour elle une mauvaise passade me concernant, je pense. Mon p’tit virus quand elle l’a rencontré, elle ne savait pas qu’il était un adepte de ces pratiques tous comme moi. Elle l’a trouvé « un peu près normal et équilibré pas comme certains ex » lol. Je n’ai aucuns ex en sm/ds, mon p’tit virus est mon premier mais je pense que pour elle j’ai eu en avoir une pléiade pendant cette « descente au enfer » ;-)  Dernièrement, on a parlé de lui et elle m’a dit qu’il était sein et qu’il fallait que je le garde. Elle est ravie car j’ai pour elle quittait ce milieu puis pour elle le déménagement m’a coupé des gens que je connaissais de ce milieu et c’est mien ainsi. Mais lol, j’ai déménagé pour rejoindre une personne tout comme moi attiré par ce milieu mais ça elle ne le sera pas et ne le sera jamais.

 

«Le jeu bdsm a cela de libérateur qu’il crée un contexte où chaque protagoniste se décharger sans honte de ces tabous, pour jouir librement de sa libido, tout en se délectant du plaisir de l’autre. Mais si le bdsm ne se résumait  cette simple description, on l’appellerait tout bonnement « le sexe ». Quoi qu’il en soit, le processus cérébral est infiniment complexe et constitue pour moi l’essence même du bdsm. Tout ce qui s’en suivra, accessoires, techniques, culture et folklore sm ne seront que des détails qui certes font tous mais n’apporteraient rien sans cette démarche intellectuelle qui recèle la nature même du plaisir. »

 

Disons que c’est ce que j’aime, c’est que c’est très cérébral. L’imagination a sa place et on prend un plaisir en imaginant en faisant de ce qu’on veut, un peu comme un jouet ou une œuvre qu’on réfléchit avant de façonner d’ailleurs ne façonne-t-on pas le soumis à son image ?

 

« Le sexe, s’il rend pas entièrement aveugle, a cela en commun avec toutes les occupations intenses (comme les activités artistiques par exemple) qu’il possède les facultés de désinhiber et d’occulter l’environnement à ses participants. On ose un peu plus que l’on devrait, les pensées se font moins rationnelles et certains messages du corps comme la douleur, le faim, la soif se voient purement ignorer. Ce processus engagé, une concentration particulière se développe sur l’activité elle même, où tous les sens se trouvent exacerbés. La perception d’une caresse, d’un simple attouchement peut alors prendre une ampleur exceptionnelle. Les gestes sont magnifiés, les sensations décuplées et tout apparaît teint d’érotisme. Il va de même en bdsm où la personne en situation de soumission, incapable ou interdite de mouvement, parfois de surcroît en état de privation sensorielles n’ayant plus à se soucier de ce qu’elle devra faire, dire, toucher ou regarder, va spontanément sublimer chaque contact sur sa peau, extrapoler le moindre bruit ambiant et tout deviendra caresse… à mesure que l’excitation grandit, ce qui n’attirait pas l’instant d’avant se fait objet de désir. Les appétits changent, les goûts évoluent et ce n’est par envie dans le plaisir que la personne obéît ou accepte de subir de nouveaux traitements érotiques. »

 

Je trouve que lors d’un moment de domination, on est plongé dans un autre monde, on a d’autres sensations. C’est très différent et tellement fort, on est entièrement concentré sur la personne, sur ce qu’on lui fait et sur ce qu’on va lui faire. L’évolution en d/s rien de plus agréable et d’excitant que cette découverte qui ne s’arrête jamais.

 

« Le port ponctuel d’un collier qui offusque tant les gens, alors que dans la majorité des cas il signifie simplement « Quand tu portes ce collier, on est dans le jeu, tu deviens ma soumise. Dès que je te l’ôte, tout s’arrête et nous redevenons nous même. »

 

Disons que ce port est surtout symbolique, cela veut effectivement dire que on est passé en mode d/s. Mais je ne dirais pas que en l’enlevant, on redevient nous même car je reste moi même quand je domine mon chéri, je ne vous pas un rôle théâtrale. Je laisse juste cours à mes envies et désirs que j’assouvie sur lui tel mon jouet.

 

« Cette terrible faiblesse de l’être humain, porte ouverte aux manipulateurs de toutes les espèces m’apparaît en même temps comme l’excellente illustration de ce que je mentionnais plus haut en abordant les plaisirs du sm. L’impact de l’imagination personnelle est infiniment plus importante que les actes pourtant bien réels eux du partenaire. »

 

C’est justement de là tout le plaisir cérébral que je tire d’un moment de domination. Comme je dis dans un précédent article, on a beau échafauder des plans diaboliques rien ne vaut que de choses simples avec lesquelles on joue avec l’imagination de l’autre car il se fait lui même peur en imaginant des choses que même nous n’avons pas penser. Il se fait 10 voir 20 fois plus peur que ce qu’on aurait pu lui faire, ses peurs, ses pensées, ses fantasmes, son passé, sa vie… tous cela se mélange est donne un cocktail explosif pour ses sens et pour lui et son cerveau qui gèrent ses émotions.

 

« Punitions et châtiments. La seconde raison est assez intéressante et moi qui n’ai jamais eu de goûts déviants pour la douleur ( Je dis cela car dans les adeptes du sm, on y trouve des personnes qui pratiquent à l’excès ou d’une manière dérangeante à mon sens)  Je l’ai pris sur le tard, il est des formes de caresses qui ressemblent à des violences. Prenez directement un fouet, un vrai fouet… l’extrémité en passe le mur du son en craquant, il y a de quoi lacérer tout ce qui s’interpose et le maniement demande un entraînement de longue haleine. C’est effrayant et en même temps… convenablement manié, on peut l’utiliser pour appliquer sur les fesses des caresses légèrement piquantes qui produiront d’infiniment plus de peur que de mal et ne laisseront finalement aucunes traces. La mise en scène sera d’autant plus théâtrale qu’elle aura nécessité un long apprentissage de la part du dominant et la conscience bien mutuelle du risque lié à l’utilisation de ce dangereux instrument viendra encore exacerber les sens, entre frissons de la peur et la douce chaleur de la confiance offerte. Quand à la fessée… je vais pas chercher ici à vanter les délices pour l’un et l’autre des participants, ni à citer les statistiques sur le nombre de femmes qui prétend-on en rêvent. On pourra d’ailleurs voir le présentateur du journal de 20heures annoncer sans gêne ce genre de statistiques, sourire en coin…tant qu’il s’agit de la gente féminine. Les hommes, on ne les sonde pas sur ce genre de questions. Bizarrement, il semble que les femmes rêvent de fessées, c’est charment tandis que les hommes ce serait pervers. »

 

J’aime l’idée de la peur que procure un martinet. Je ne l’ai pas acheter on me l’a tout simplement offert. Eh oui drôle de cadeau ;-) mais dans un milieu averti cela ne pose pas de problème. J’ai aidé un ami qui est vendeur dans un sex shop à faire la vendeuse durant une partie d’une après midi car il ne s’y connaissait pas et le magasin et grand et surtout fournis en gadgets et objets de toutes sortes où il a déjà plus de connaissance et surtout où il se sent plus à l’aise pour conseiller. Du coup, il m’a offert cela pour me remercier :- ) Ce cadeau m’a fait bizarre mais j’ai appris à servir grâce aux différentes soirées où j’ai pu me rendre. Je n’aimais pas l’utiliser au départ et vu que je l’avais j’ai voulu tester. Je ne l’utilise que maintenant et je commence à y prendre un peu de plaisir et je n’ai plus cette peur de faire mal ayant appris lors de divers moments à m’en servir. Mais quand je vois l’autre ayant comme des « frissons », je ne peux continuer. Car maintenant les coups et le bruit ne m’impressionnent plus autant mais la réaction de l’autre je m’y suis pas encore faite. Par contre, je préfère préciser, je ne suis paq attiré par la fessée ;-) mais du tout.

 

« Les hommes par exemple apprécient souvent les petites jupes pour leurs partenaires, les talons, les bas, la lingerie, les corsets, tous ce qui marquent la différence des sexe et de morphologie. Les femmes pour leur part ne détestent pas nécessairement revêtir ce genre d’atours pourvu que l’opportunité s’en présente et si l’image qu’elles pensent renvoyer n’est pas négative. »

 

Le plaisir est là car c’est le supplice de tantale car j’interdis à mon soumis de me toucher étant à ce moment la Domina. Ca me fait sourire car je vois son regard qui brille soudainement ;-) En même temps, c’est normal je n’y vais pas habillé classiquement, je m’habille sexy. C’est tellement plus agréable pour nous, pour lui, agrémente le moment de domination. Je trouve qu’il n’y a que des avantages à cela !

 

« En bdsm, les apparences sont toujours contre les participants. Deux êtres se procurent un plaisir consensuel, mais vu de l’extérieur ce plaisir semble systématiquement malsain…d’autant plus que ce genre de spectacle sera particulièrement susceptible de raviver d’éventuelles frustrations à l’esprit de l’observateur. Celui-ci trouvera alors plus confortable pour sa conscience de juger les protagonistes comme ayant passé une limite inacceptable, plutôt que reconnaître là une complicité  laquelle il a longtemps rêvé. »

 

C’est ce que je découvre une relation d/s est beaucoup forte et fusionnelle que dans un couple vanille, je trouve. Après qu’est ce que j’entends par forte et fusionnelle. Je veux dire par là que dès le départ le couple est plus en harmonie, il se comprends mieux car certaines barrières qui peuvent mettre du temps à tomber là tombe rapidement. Quand je dis fusionnel, ce pouvoir de l’un sur l’autre en est déjà responsable pour une grande partie. Car l’offre en confiant son corps montre sa confiance à l’autre. Puis aussi le fait qu’on partage un secret, qu’on a notre petit univers caché, protégé, notre jardin secret commun. Les gens préfèrent dénigraient que de voir si effectivement cela vaut vraiment de dire qu’on a franchi les limites. Ils se protègent en quelque sorte comme ils ne se posent pas de question.

 

« Pour parler des accessoires, j’ai commencé par les vêtements. Or, le plus dérangeant à voir, c’est certainement les autres accessoires. Le fouet que j’ai déjà mentionné, bien sûr le collier, les chaînes, les baillons, les pinces  seins et puis les bandeaux, cagoules, menottes, cordes, bougies et aussi pourquoi pas les cages, les croix de Saint André, les plugs annaux… »

 

Oui effectivement à mon début certains accessoires me mettaient quelque peu mal à l’aise. La laisse et le collier tout simplement mais aussi le gode ceinture, la croix de Saint André, les chaînes, les martinets et autres accessoires si marrant ;-) Puis petit à petit, je me suis faite à eux. Maintenant, je ne suis plus ainsi impressionné par les accessoires, si je ne connais je suis curieuse de découvrir tout simplement . Mais c’est aussi le fait que j’ai déjà bien avancé dans ce monde qui m’a enlevé cette appréhension de toute cette panoplie sm que sont les divers accessoires.

 

« L’entrave, la perte physique de liberté. »

 

 J’adore cette phrase qui est tellement vrai. Elle résonne en moi, je la trouve seyante comme phrase, elle a écho en moi.

 

« Etre attaché, se voir privé de mouvement, se sentir livré et exposé…composé essentiel des activités bdsm, les pratiques de liens en révèlent tout le fondement. Offrir son corps nu l’autre, c’est lui montrer sa confiance absolue, c’est se procurer le frisson de se dire que pour le coup, le partenaire peut tout faire, absolument tous et qu’il esy trop tard pour reculer. »

 

« Offrande merveilleuse et responsabilité terrible. Le jeu dominant / dominée prend soudain une dimension réelle, sérieuse car sitôt le dernier lien resserré, le choix ultime d’en interrompre la partie ne repose plus qu’entre les mains de celui qui est le rôle du dominateur. Les deux le savent. Bien sûr, la personne entravée pourra toujours décider d’arrêter. Mais se libérait d’elle même non. Cette dernière notion est bien entendu horrible… imaginer un couple bdsm, la dominée accepte les entraves puis prend soudainement peur, se sent mal, demande à son partenaire de la détacher et l’autre refuse. Idée cauchemardesque qui pour ne faire aucunement partie du jeu bdsm en alimente néanmoins délicieusement les fantasmes, tout en illustrant concrètement l’immensité du présent offert par les liens. Comme je l’ai dit précédemment, l’anticipation, l’attente sont parme les composantes essentielles de l’intérêt sexuel : ce qui est possible a souvent plus de poids que les faits eux mêmes. Peu importe ce qui va se passer, ce qui compte c’est las situation actuelle les possibilités qu’elle ouvre et es projections fantasmatiques que l’on déploie soi même sur ces possibilités. Ainsi dans ce genre de jeu aussi forte de personnalité que puisse se sentir la soumise ne résistera-t-elle peut être pas à la douce tentation de songer si l’autre refusait de la libérer, s’il décidait de lui faire endurer un traitement auquel elle s’oppose toute la force de son charisme n’y ferait rien. Elle est véritablement exposée et sans défense. Enfin, si besoin est l’agacement d’un nez qui démange, d’une soif subite ou l’envie d’aller aux toilettes seront toujours de la partie pour obliger la personne immobilisé à réaliser l’état de dépendance terrible dans lequel elle s’est placée en acceptant d’avoir les membres attachés. Je le répète, le refus de libération de la part du dominant n’a aucunement sa place dans l’univers bdsm où il aurait tendance à être plutôt considéré comme le pire des crimes. Les simulations et les peurs font par contre partie intégrante de ces jeux à l’exemple du fouet qui fera beaucoup de bruit mais ne provoquera pas de grande douleur et les liens qui exacerbent les projections. Ces jeux sont tellement présent dans l’univers bdsm que l’on a même jugé approprié de donner un nom « mindfucking » par rapport à ces jeux de peur et d’angoisse dans la domination. Le couple qui jouant à dominant / dominée décide sans préparation de tenter l’expérience des liens va se trouver avec surprise confronté à un problème bien plus considérable qu’il n’y paraît. Attacher une personne, c’est infiniment moins simple qu’on pourrait le croire. Faire en sorte que les cordes tiennent solidement privant efficacement la victime de tous ses moyens de libération et un authentique défi. Mais surtout, ne pas blesser dans ces conditions relève presque de l’impossible. Le corps est ainsi fait qu’il détient la souplesse d’autoriser toutes les contorsions libératrices en même tant que la faiblesse de sa circulation sanguine. Un simple nœud sur le poignet, on s’en débarrasse facilement. Que ce nœud soit un petit peu serré et rapidement le membre s’ankylose, le sang coagule, toutes les sensations disparaissent alors que la main se meurt à petit feu. Le danger est bien réel, infiniment sérieux. En matière de liens, tous les films nous mentent. Essayez de garder vos bras tendus au-dessus de votre tête pendant seulement cinq minutes et vous comprendrez que si James Bond avait réellement passé une nuit avec les poignets accrochés au plafond de la demeure du méchant, c’est pour l’amputer aux épaules qu’on l’aurait réveiller le lendemain matin  moins de souhaiter le voir mourir de la gangrène dans les jours qui suivent. Il y aurait en particulier beaucoup à dire sur les liens dans la mesure où être attaché représente certainement le summum de la soumission à l’autre.»

 

J’aime justement donner et sentir cette peur que maintenant une fois attaché je peux en faire ce que je veux. Ce n’est pas sa force caractéristique de la gente masculine qui va l’aider car étant attaché (et sachant faire les nœuds appropriés) Il peut essayer de se débattre, il n’y arrivera pas. J’aime donc jouer sur cette privation de liberté, sur ce sentiment d’être sans défense, à la merci totale de l’autre. Je me rappelle de mon soumis qui a voulu « m’aider » à défaire les liens, je lui ai donné le bout de corde et je lui ai dit « va y ». J’ai pris du plaisir à le regarder ainsi essayer de se dépêtrer. Il y réussi car j’avais enlevé les nœuds qui tiennent, il ne restait que les nœuds superficiels mais quel régal de le regarder ainsi se débattre avec la corde pour s’en libérer ! J’ai été confronté aux nœuds aussi la première fois mais ayant regarder sur un site internet et ayant noter la façon de le faire, je n’ai pas vraiment eu de soucis. Surtout depuis qu’une Domina m’a montré un nœud sécuritaire. La personne ne peut se détacher mais il n’enserre pas les membres de la personne et ne peut donc la blesser.

 

« Mon bdsm. Non je ne me défoule pas en fouettant celle que je prétends aimer. Non, elle ne prend pas de plaisir dans la souffrance. Non vraiment, désolé mais nous avons à la fois une sexualité admirablement épanouie et une vie merveilleusement équilibrée et qui ne pâtit pas de cet épanouissement. »

 

Pas de commentaire car c’est inutile car clair et simplement dit.

 

« La réalité est tout autre bien loin de cette perception erroné. Qui murmure tourments ne dit pas blessures et aux antipodes d’une quelconque envie destructive de souffrance. Ce que les deux complices vont rechercher, c’est l’exacerbation de cette situation de dépendance. La soumise attachée va vouloir ressentir son impuissance du moment, goûter le fait qu’elle décide plus de rien, en éprouvant cette absence apparente de liberté. Le dominant va pour sa part aspirer à savourer cette possession temporaire en vérifier la réalité et se délecter bien sûr du plaisir sexuel d’abandon qu’il lira dans la soumission de sa compagne. Pour répondre à cette attente consensuelle, quelle meilleure voir que de donner à la soumise une bonne raison de soudain être libre et lui montrer qu’elle ne peut pas obtenir cette liberté. La valse des tourments va ainsi commencer, incompréhensible pour les regards extérieurs : dans les liens, une simple caresse devient viol. Que le dominant chatouille les côtes de sa partenaire et il la verra se débattre, chercher désespérément à se libérer de ses entraves, prête à tous pour que cesse le supplice… elle éprouvera alors à ce moment précis toute la force de son impuissance tandis que lui ressentira au travers du pouvoir qui lui est octroyé l’immensité du cadeau qui lui est offert. Quand au plaisir du dominant, c’est dans l’application de ces fausses tortures qu’il faudra le comprendre dans la lecture des sentiments générés et surtout dans le dialogue parfois totalement silencieux qui ne manquera pas d’en résulter. Posséder temporairement un droit complet sur le corps de sa partenaire, c’est se rapprocher d’elle bien plus qu’il n’est généralement permis et c’est crever les bulles des individualités dans une quête de volupté mutuelle et partagée loin de toute envie de destruction. »

 

Je n’ai aucunes envies et bien au contraire de blesser mon soumis. C’est un jeu et non un supplice douloureux. J’aime chatouiller les pieds de mon chéri ou sous le genou et le voir ainsi bouger pour essayer que cesse ces chatouilles. J’aime bloquer ses pieds entre mes jambes alors qu’il est déjà attacher :- ) Quel délice, de pouvoir de ainsi faire « souffrir » l’autre en lui faisant des chatouilles jusqu’à qu’on décide d’arrêter, à notre bon vouloir et que lui il est obligé de souffrir en silence en attendant que nous décidions d’arrêter cette torture    ;- ) Le mot viol est un peu puissant mais il n’a pas tort, quand je joue à ainsi exciter mon soumis je joue forcement autour de son sexe et je le vois ainsi se tortiller, je vois les réactions de son corps en rapport à mes caresses, qu’est ce que j’aime cela. :- )

 

« On n’en apprend jamais autant sur son propre pays, dit-on, on ne peut jamais aussi bien le juger, qu’en allant découvrir les contrées étrangères… je me suis jamais tant senti grandir et évoluer qu’en partageant en m’ouvrant tout entier celle que j’aime et en la voyant faire de même. Le sexe libère du sexe, il répare et ce qui résulte de ces moments passés à deux, c’est avant tout un bien être et une complicité exceptionnelle dans la vie de tous les jours. Je constate avec joie que la dimension humaine n’exclut pas forcement la dimension amoureuse et au final… dieu que c’est bon de voir que celle qu’on aime et qu’on respecte, celle qu’on apprend chaque jour à connaître d’avantage, faire preuve d’une telle force en s’agenouillant sans honte pour recevoir son collier, faisant fi des tabous alors que le jeu d’un soir démarre… »

 

Je suis entièrement d’accord, d’où mes sorties dans des soirées privées, des clubs, des rencontres… Il faut d’abord connaître avant de juger un temps soit peu. Je suis aussi d’accord avec le fait que c’est « bon » de voir ainsi cette personne qu’on aime s’agenouiller et attendre notre arrivé avec son collier pour qu’on puisse lui mettre.

 

Parfois, j’ai cette peur que l’un de nous deux veuille arrêter la d/s.

 

 

 

                               

Par Lady Ariciaa
Jeudi 27 novembre 4 27 /11 /Nov 23:21

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