Je suis allée tout à l'heure sur le blog d'un site que j'apprécie tout particulièrement. J'y suis allée
et je me suis connecté au forum. Cela m'a permis d'échanger nos points de vue entre dominatrices mais aussi avec des "slaves" comme elles disent. L'anglais a réussi à percer aussi dans ce milieu,
enfin ! !
Une dominatrice avec laquelle j'ai discuté l'était depuis 20 ans environ. Je n'en revenais pas car cela fait un long chemin de vie. Moi qui viens juste d'y tomber, je suis toute fraîche. Je le
suis depuis fin avril donc c'est vraiment tout récent. Il y avait de tous âges même des retraités. Cela me faisait bizarre car des inconnus me demander l'autorisation de se déconnecter du blog.
J'ai accepté chaque fois mais cela fait bizarre car c’est un milieu où le respect de la gente féminine est de mise. Mais j'ai un tout petit peu mieux compris ceux qui pousse un homme a être un
soumis mais cela reste néanmoins extrêmement flou quand même. C'est dans le caractère, ça coule dans les veines on l'est ou ne l'est pas pour moi. Car être un soumis, c'est accepter de donner son
corps, sa liberté de penser, de mouvement à l'autre et de ne plus en être le détenteur mais d'obéir aux moindres désirs, envies et volontés de sa Maîtresse.
C'est une vie, un monde à part. Une façon de vivre que se soit pour la Maîtresse ou l'esclave car on n’a pas le même planning, les mêmes occupations, les mêmes pensées, les mêmes jeux intimes que
des couples basiques
Je pense qu'il faut faire preuve d'empathie, d'écoute et de communication pour que
la Maîtresse et le soumis puissent s'épanouir dans leurs rôles respectifs.
C'est un mode de vie à part entière qu’on vit Maîtresse ou esclave. Après c'est à
voir si on ne l'est que le soir, que le week-end, quelques heures par jour, dans l'intimité, à l'extérieur ou tout le temps. C'est selon ce que l'on aime et si on est empathique selon ce que
notre esclave peut avoir envie ou pas envie. Par exemple ne pas vouloir assumer à l'extérieur le fait d'être la possession, la chose, l'objet d'une femme, d'une maîtresse.
Même si on me dit d'être sévère car c'est important et que l'autre aime cela. Je pense que « oui », il faut l'être mais il faut quand même garder à l’esprit que ça ne reste qu’un jeu, que l'autre
continue à avoir des envies, une vie sociale, des amis, de la famille... Après avec le temps, ça peut devenir un mode de vie mais au départ c’est surtout mettre ses fantasmes en
pratique.
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