Le journal de Lady Ariciaa

J'ai eu envie de rendre cette lettre d'excuse du "rugbyman" publique. Car je devais le voir et une fois de plus il a préféré faire marche arrière. Je veux le mettre devant le fait et pour qu'il n'oublie pas cette lettre qu'il m'a écrite. Elle date de maintenant il y a quelques mois.

Lettre d’excuses pour Maîtresse Ariciaa

 

Voici sur Vos ordres la lettre d’excuses que vous m’avez commandée. Je ne suis pas particulièrement doué pour ce genre de chose en tant normal. Je ne me souviens même pas en avoir écrit une seule lettre pour une fille. Mais pour Vous je le fais car Vous êtes ma Maîtresse et j’ai tant de choses à me faire pardonner.

 

Je suis d’ailleurs étonné que Vous soyez venu me parler ce soir. Dans cette lettre, je ne vais à aucun moment tenté de me disculper. Je suis entièrement responsable de nos échecs successifs. Depuis notre première rencontre je n’ai fait que Vous décevoir. Je ne comprends pas comment j’ai pu devenir comme tel, alors que Vous m’avez fait découvrir un monde qui m’attire depuis plus d’une dizaine d’années, Vous m’avez aidé à me découvrir à des pratiques que je gardais enfuies en moi.

 

Et je Vous ais remercier d’une bien triste manière. J’ai été lâche, je Vous ais abandonné après cette première expérience, car j’ai été découvert. Mon seul acte a été de disparaître sans Vous donner de nouvelles. Pourtant je doute que Vous puissiez imaginer combien il m’en a coûté. J’étais submergé par les émotions dégagées ce jour là.

 

Et puis nous nous sommes retrouvés quelques temps après. Nous avons discuté, Vous m’avez pardonné. Et je n’ai toujours pas su saisir ma chance. La chance de Vous avoir comme Maîtresse. Le plaisir d’être à Vos pieds, à Vos ordres, le plaisir d’être entre Vos mains, sous Votre corps, de satisfaire le moindre de Vos désirs.

 

Ce n’est pas tant pour moi que pour Vous que je souhaite Vous revoir lors d’une séance ou d’un weekend. Ce jour là, j’espère que vous profiterez de m’avoir sous Votre coupe pour me punir et ainsi Vous vengez du mal que j’ai pu Vous faire et des déceptions que je vous ais apporté. Ce jour là n’ayez pas peur ni aucun sentiment à me tenir en laisse ou me promener comme le chien que je suis car telle est ma place, à Vos divins Pieds. Ne regrettez pas de me faire subir les humiliations extrêmes : bâillonnez moi, cravachez moi, chevauchez moi, sodomisez moi et autres tortures morales ou physiques que Vous voudriez m’infliger. Ce ne sera que justice. Et sachez que je serai docile, coopératif et sage, prêt à accepter n’importe laquelle de vos punitions.

 

Dans l’espoir de Vous plaire Maitresse

 

Mar 27 mai 2008 Aucun commentaire